Madame Porquet Salimata, Maitre Diallo-Sissoko Généviève, Madame Sanogho Edwige et les autres personnes que Monsieur Gbato Guillaume a citées dans son article paru dans le quotidien « Notre Voie », en date du 27 janvier 2011, les membres du REPSFECO Côte d'Ivoire s'inscrivent en faux et ne se reconnaissent pas dans les propos tenus par ce monsieur. En effet, ces personnes membres de la société civile ivoirienne et qui œuvrent pour la recherche de paix, sont à Addis Abeba à l'invitation de Femmes Africa Solidarité (FAS) pour assister à la conférence du GIMAC (Gender is My Agenda Compaign) et pour une formation de haut niveau en négociation et médiation pour la résolution des conflits. Le GIMAC qui fait la promotion du genre (femme/homme), reconnu au plan international, a décidé de faire le renforcement de capacité des femmes africaines. Les membres du Réseau que nous sommes, intervenons depuis le début de la crise en Côte d'Ivoire, dans le processus de paix.
A ce titre elles ont mené des actions auprès des différents acteurs de la crise post électorale et entendent poursuivre leurs activités dans le but de ramener l'unité nationale, gage d'une paix durable.
Aussi, profitons de notre droit de réponse pour souligner la noble mission que nous nous sommes assignées en tant que mères et ivoiriennes. Notre neutralité ne souffre d'aucun doute pour mener à bien cette mission au plan national dans cette situation sensible.
Nous demandons à monsieur Gbatto Guillaume de ne pas exposer de braves femmes qui pensent à l'intérêt supérieur de la Nation, à la vindicte populaire.
Merci de faire passer ce droit de réponse.
BCEAO-Côte d'Ivoire
Voici ceux qui aident Gbagbo dans son braquage
Comme tout braquage de grande envergure, le voleur bénéficie toujours de quelques complicités internes. Si Laurent Gbagbo a réussi le casse qu'il a opéré à la direction nationale de la BCEAO, c'est grâce en grande partie à des agents de l'institution. Le premier soutien du nouveau Sia Popo est M. Diali Zié l'actuel directeur par intérim. C'est lui qui pilote et coordonne en ce moment même toutes les opérations menées par le camp Gbagbo au sein de la direction nationale de la BCEAO. Il est aidé dans ces opérations illégales par MM. Gustave N'Guetta Aka et N'Groh Yédé, tous deux contrôleurs des opérations. Pour les opérations comptables, c'est Mme Coulibaly, chef de service comptabilité, qui facilite la tâche à Laurent Gbagbo dans leur honteuse entreprise de détournement des fonds de la BCEAO en Côte d'Ivoire. A côté de Mme Coulibaly sévit M. Bruno Aka, chef de service des opérations bancaires. C'est ce dernier qui apporte son expertise au clan Gbagbo dans sa volonté de contourner le circuit normal du système bancaire en Côte d'Ivoire. Après lui, il y a M. Denis Assi Ablé, le chef de service caisse dont le rôle est de faciliter le décaissement des faramineuses sommes indument détournées par l'usurpateur d'Abidjan et son équipe. Les hommes de Laurent Gbagbo bénéficie également de la complicité du chef de l'agence BCEAO de Daloa, M. Roland Doué qui n'hésite pas depuis le début de la réquisition illégale de Laurent Gbagbo de prêter main forte aux braqueurs qui se sont emparés des coffres-forts de la BCEAO à Abidjan et à mettre à leur disposition ceux de Daloa. Le trait commun qui lie tous ces cadres de la BCEAO Côte d'Ivoire, est leur obédience politique. Les personnes citées plus haut sont des militants indécrottables de la prétendue majorité présidentielle de Laurent Gbagbo. Pour des considérations politiques et pour faire plaisir à leur chef, ils ont décidé de prendre en otage tout le personnel de la BCEAO Côte d'Ivoire et de conduire l'institution financière internationale à la ruine. Il faut rappeler que les chefs d'Etat de l'Union économique et monétaire ouest-africaine se sont réunis le 18 janvier dernier à Bamako. Les présidents et chef de gouvernement de l'espace UEMOA ont entériné la décision prise par le Conseil des ministres de l'Economie et des Finances de l'UEMOA le 23 décembre dernier à Bissau. Cette décision stipule que désormais, le président élu par les Ivoiriens, le docteur Alassane Dramane Ouattara, est le seul détenteur de la signature pour la gestion des comptes de la Côte d'Ivoire à la BCEAO. L'ancien gouverneur de la BCEAO, M. Philipe-Henri Dacoury, a été contraint à la démission pour n'avoir pas justement, respecté les recommandations du Conseil des ministres qui l'enjoignaient de s'en tenir aux instructions du gouvernement légal et légitime de Côte d'Ivoire. Du 24 décembre au 15 janvier, ce sont plus 150 milliards de FCFA que l'ancien n° 1 de la banque des banques a pu faire décaisser au profit du régime de Laurent Gbagbo avant que ne tombe la décision de sa démission. Pour contourner la décision des chefs d'Etat de l'UEMOA, Laurent Gbagbo a pris un décret de réquisition de la direction nationale et toutes les agences de la BCEAO en Côte d'Ivoire. Pour préserver le patrimoine de l'institution en Côte d'Ivoire, le gouverneur par intérim, M. Jean-Baptiste Compaoré a ordonné la fermeture de la direction nationale et de toutes les agences de l'institution financière internationale en Côte d'Ivoire. En réponse à cette mesure conservatoire, Laurent Gbagbo, comme un vulgaire bandit de grands chemins, a décidé de forcer les coffres-forts de la banque des banques à Abidjan et à Daloa. Avec la complicité bien sûr des cadres de l'institution cités plus haut.
Jean-Claude Coulibaly
A ce titre elles ont mené des actions auprès des différents acteurs de la crise post électorale et entendent poursuivre leurs activités dans le but de ramener l'unité nationale, gage d'une paix durable.
Aussi, profitons de notre droit de réponse pour souligner la noble mission que nous nous sommes assignées en tant que mères et ivoiriennes. Notre neutralité ne souffre d'aucun doute pour mener à bien cette mission au plan national dans cette situation sensible.
Nous demandons à monsieur Gbatto Guillaume de ne pas exposer de braves femmes qui pensent à l'intérêt supérieur de la Nation, à la vindicte populaire.
Merci de faire passer ce droit de réponse.
BCEAO-Côte d'Ivoire
Voici ceux qui aident Gbagbo dans son braquage
Comme tout braquage de grande envergure, le voleur bénéficie toujours de quelques complicités internes. Si Laurent Gbagbo a réussi le casse qu'il a opéré à la direction nationale de la BCEAO, c'est grâce en grande partie à des agents de l'institution. Le premier soutien du nouveau Sia Popo est M. Diali Zié l'actuel directeur par intérim. C'est lui qui pilote et coordonne en ce moment même toutes les opérations menées par le camp Gbagbo au sein de la direction nationale de la BCEAO. Il est aidé dans ces opérations illégales par MM. Gustave N'Guetta Aka et N'Groh Yédé, tous deux contrôleurs des opérations. Pour les opérations comptables, c'est Mme Coulibaly, chef de service comptabilité, qui facilite la tâche à Laurent Gbagbo dans leur honteuse entreprise de détournement des fonds de la BCEAO en Côte d'Ivoire. A côté de Mme Coulibaly sévit M. Bruno Aka, chef de service des opérations bancaires. C'est ce dernier qui apporte son expertise au clan Gbagbo dans sa volonté de contourner le circuit normal du système bancaire en Côte d'Ivoire. Après lui, il y a M. Denis Assi Ablé, le chef de service caisse dont le rôle est de faciliter le décaissement des faramineuses sommes indument détournées par l'usurpateur d'Abidjan et son équipe. Les hommes de Laurent Gbagbo bénéficie également de la complicité du chef de l'agence BCEAO de Daloa, M. Roland Doué qui n'hésite pas depuis le début de la réquisition illégale de Laurent Gbagbo de prêter main forte aux braqueurs qui se sont emparés des coffres-forts de la BCEAO à Abidjan et à mettre à leur disposition ceux de Daloa. Le trait commun qui lie tous ces cadres de la BCEAO Côte d'Ivoire, est leur obédience politique. Les personnes citées plus haut sont des militants indécrottables de la prétendue majorité présidentielle de Laurent Gbagbo. Pour des considérations politiques et pour faire plaisir à leur chef, ils ont décidé de prendre en otage tout le personnel de la BCEAO Côte d'Ivoire et de conduire l'institution financière internationale à la ruine. Il faut rappeler que les chefs d'Etat de l'Union économique et monétaire ouest-africaine se sont réunis le 18 janvier dernier à Bamako. Les présidents et chef de gouvernement de l'espace UEMOA ont entériné la décision prise par le Conseil des ministres de l'Economie et des Finances de l'UEMOA le 23 décembre dernier à Bissau. Cette décision stipule que désormais, le président élu par les Ivoiriens, le docteur Alassane Dramane Ouattara, est le seul détenteur de la signature pour la gestion des comptes de la Côte d'Ivoire à la BCEAO. L'ancien gouverneur de la BCEAO, M. Philipe-Henri Dacoury, a été contraint à la démission pour n'avoir pas justement, respecté les recommandations du Conseil des ministres qui l'enjoignaient de s'en tenir aux instructions du gouvernement légal et légitime de Côte d'Ivoire. Du 24 décembre au 15 janvier, ce sont plus 150 milliards de FCFA que l'ancien n° 1 de la banque des banques a pu faire décaisser au profit du régime de Laurent Gbagbo avant que ne tombe la décision de sa démission. Pour contourner la décision des chefs d'Etat de l'UEMOA, Laurent Gbagbo a pris un décret de réquisition de la direction nationale et toutes les agences de la BCEAO en Côte d'Ivoire. Pour préserver le patrimoine de l'institution en Côte d'Ivoire, le gouverneur par intérim, M. Jean-Baptiste Compaoré a ordonné la fermeture de la direction nationale et de toutes les agences de l'institution financière internationale en Côte d'Ivoire. En réponse à cette mesure conservatoire, Laurent Gbagbo, comme un vulgaire bandit de grands chemins, a décidé de forcer les coffres-forts de la banque des banques à Abidjan et à Daloa. Avec la complicité bien sûr des cadres de l'institution cités plus haut.
Jean-Claude Coulibaly