Le chef de l`ONU, Ban Ki-moon, a jugé lundi que la communauté internationale était à nouveau "mise à l`épreuve" 70 ans après les atrocités nazies, dénonçant l`attitude du pouvoir en Libye et en Côte d`Ivoire à l`issue d`une visite au musée de l`Holocauste de Washington.
"Une fois de plus, nous sommes mis à l`épreuve", a déclaré devant des journalistes M. Ban en référence au régime nazi et à la solution finale.
"L`expression +plus jamais ça+ vaut pour tous les peuples et pour tous les lieux", a-t-il insisté.
"Les chapitres les plus tragiques de l`histoires s`écrivent quand nous ignorons cet appel", a-t-il poursuivi. Il a rappelé les sanctions déjà prises par la communauté internationale contre les gouvernements Kadhafi en Libye et Gbagbo en Côte d`Ivoire et averti que "d`autres actions pourraint être nécessaires".
Le régime libyen répond aux "vents du changement" qui balaient le monde arabe en réprimant son propre peuple, et le dirigeant Mouammar Kadhafi "a perdu toute légitimité en déclarant la guerre à son peuple", a dit M. Ban.
En Côte d`Ivoire, en proie à une escalade de la violence entre les partisans de Laurent Gbagbo, qui s`accroche au pouvoir, et ceux d`Alassane Ouattara, vainqueur de la présidentielle reconnu par la communauté internationale, "des civils sont tués en défendant la démocratie, et nous, les Nations unies, nous nous tenons à leurs côtés", a-t-il ajouté.
M. Ban avait rencontré plus tôt dans la journée le président américain Barack Obama à la Maison Blanche. Les deux hommes avaient alors fait part de leur "inquiétude" face à "l`escalade de la violence" en Côte d`Ivoire, selon des propos rapportés par l`ambassadrice américaine à l`ONU, Susan Rice.
"Une fois de plus, nous sommes mis à l`épreuve", a déclaré devant des journalistes M. Ban en référence au régime nazi et à la solution finale.
"L`expression +plus jamais ça+ vaut pour tous les peuples et pour tous les lieux", a-t-il insisté.
"Les chapitres les plus tragiques de l`histoires s`écrivent quand nous ignorons cet appel", a-t-il poursuivi. Il a rappelé les sanctions déjà prises par la communauté internationale contre les gouvernements Kadhafi en Libye et Gbagbo en Côte d`Ivoire et averti que "d`autres actions pourraint être nécessaires".
Le régime libyen répond aux "vents du changement" qui balaient le monde arabe en réprimant son propre peuple, et le dirigeant Mouammar Kadhafi "a perdu toute légitimité en déclarant la guerre à son peuple", a dit M. Ban.
En Côte d`Ivoire, en proie à une escalade de la violence entre les partisans de Laurent Gbagbo, qui s`accroche au pouvoir, et ceux d`Alassane Ouattara, vainqueur de la présidentielle reconnu par la communauté internationale, "des civils sont tués en défendant la démocratie, et nous, les Nations unies, nous nous tenons à leurs côtés", a-t-il ajouté.
M. Ban avait rencontré plus tôt dans la journée le président américain Barack Obama à la Maison Blanche. Les deux hommes avaient alors fait part de leur "inquiétude" face à "l`escalade de la violence" en Côte d`Ivoire, selon des propos rapportés par l`ambassadrice américaine à l`ONU, Susan Rice.