L`Onu a accusé lundi la Biélorussie d`avoir livré des hélicoptères de combat à Laurent Gbagbo, président sortant de la Côte d`Ivoire qui refuse de céder le pouvoir à Alassane Ouattara, reconnu vainqueur de l`élection présidentielle du 28 novembre par la quasi-totalité de la communauté internationale.
Le gouvernement Gbagbo et la Biélorussie ont démenti avoir violé l`embargo en vigueur depuis 2004. Des émissaires onusiens ont admis que les preuves n`étaient pas concluantes.
Les enquêteurs ont essuyé des tirs de l`armée ivoirienne alors qu`ils tentaient ce week-end de visiter l`aéroport de la capitale, Yamoussoukro, où se trouveraient les trois hélicoptères de combat envoyés de Biélorussie, a dit le porte-parole de la mission onusienne.
"C`est ce qu`ils ont dit", a dit Hamadoun Touré. "Nous essayons d`avoir des détails, mais rien jusqu`ici."
Les relations entre les forces fidèles à Laurent Gbagbo et les représentants de l`Onu en Côte d`Ivoire sont très mauvaises. La télévision publique, inféodée au président sortant, dénonce régulièrement la collaboration présumée entre les soldats de l`Onu et les rebelles favorables à Alassane Ouattara.
Les agressions de casques bleus se multiplient. Deux membres du personnel de l`Onu ont été enlevés puis relâchés lundi.
Le gouvernement Gbagbo et la Biélorussie ont démenti avoir violé l`embargo en vigueur depuis 2004. Des émissaires onusiens ont admis que les preuves n`étaient pas concluantes.
Les enquêteurs ont essuyé des tirs de l`armée ivoirienne alors qu`ils tentaient ce week-end de visiter l`aéroport de la capitale, Yamoussoukro, où se trouveraient les trois hélicoptères de combat envoyés de Biélorussie, a dit le porte-parole de la mission onusienne.
"C`est ce qu`ils ont dit", a dit Hamadoun Touré. "Nous essayons d`avoir des détails, mais rien jusqu`ici."
Les relations entre les forces fidèles à Laurent Gbagbo et les représentants de l`Onu en Côte d`Ivoire sont très mauvaises. La télévision publique, inféodée au président sortant, dénonce régulièrement la collaboration présumée entre les soldats de l`Onu et les rebelles favorables à Alassane Ouattara.
Les agressions de casques bleus se multiplient. Deux membres du personnel de l`Onu ont été enlevés puis relâchés lundi.