Les Forces de défense et de sécurité de Côte d`Ivoire (Fds-Ci) n’ont pas tiré sur des femmes du Rhdp qui manifestaient le jeudi 3 mars 2011, dans la commune d`Abobo. Les stratèges de la désinformation, tapis à l’Hôtel du Golf, ont une fois encore, déroulé la bande inique et morbide de leur plan diabolique de désinformation-intoxication et surtout de manipulation. Avec la caution des médias dits internationaux qui, comme des vampires assoiffés de sang frais, n’attendent que ça, pour flétrir l’image des gouvernants ivoiriens. Mais la Rti (média d’Etat) vient de diffuser des preuves du montage grossier opéré par le camp Ouattara pour noircir l’image de Gbagbo. Par ailleurs, sur la toile (internet, facebook, www.gbagbo.ci et autres) défilent des vidéos qui attestent largement de la manipulation et de l’intox, à propos des «six femmes tuées» à Abobo par des Fds( ?) Le démenti des Fds est net : Sur la base des propos de pseudo témoins, des agences de presse ont diffusé l’information selon laquelle les Fds-Ci seraient coupables de la mort de six (6) femmes, tuées par balles, au cours de la marche des militantes du Rhdp à Abobo, le jeudi 3 mars 2011.
Cette information a été automatiquement relayée depuis hier, par des médias internationaux. Les Fds-Ci ont déclaré purement et simplement ne pas se reconnaître dans cette accusation, forcément mensongère et sans fondement. A l`intention de ces médias qui, de façon curieuse et suspecte, s`accordent autour de cette accusation grave, les Fds-Ci rappellent que des marches similaires de militantes du Rhdp ont eu lieu à Adjamé, à Marcory, à Treichville, à Attécoubé, à Bassam et dans d`autres localités les jours précédents; elles ont été toutes dispersées par des Fds-Ci à l`aide de moyens conventionnels, sans qu`aucun cas de tuerie par balles n`ait été déploré; ni d`actes de barbarie observés. Les Fds-Ci, s`insurgent contre ces adeptes des informations pour qui la légèreté et la manipulation des faits sont établies comme des règles professionnelles. Les forces armées nationales de Côte d’Ivoire ont eu le nez creux en réfutant vigoureusement ces accusations mensongères répandues à dessein par l’international du crime. En effet, moins de trois jours après, les images d’Abobo diffusées par France 24 et d’autres médias, se re- trouvent sur la toile. Elles sont parlantes. Le monde entier découvre stupéfait, l’œuvre de manipulation des sbires de la françafrique en Côte d’Ivoire. La dame supposée morte, ensanglantée, se relève puis, en langue Malinké, une voix lui dit que la mise en scène n’est pas encore achevée et donc qu’elle doit à nouveau faire le mort en se couchant. Ce scénario avait déjà été monté au siège de l’Onuci en Côte d’Ivoire. En effet, devant l’ex-hôtel Sebroko et en présence de médias français, un jeune homme entouré d’une foule de militants du Rdr (parti militarisé de Ouattara Alassane) avait simulé la mort devant les caméras des journalistes. Cette mise en scène dont se sont rendus complices des organisations de défense des Droits de l’Homme, en la prenant à tort pour preuves contre le régime de Gbagbo, est sur la toile (facebook,www.gbagbo.ci et autres). Et comme le chien ne change jamais sa manière de s’asseoir, rebelote ! A Abobo, commune infestée de terroristes à la solde de Alassane Ouattara, pour prendre le pouvoir par les armes, des manifestants notamment des femmes, ont été submergées par des va-t-en guerre dont l’objectif est connu : Faire croire que les soldats loyalistes de la République, tirent sur des manifestants aux mains nues. D’où, la mise en scène grossière et ubuesque, d’Abobo que, sans recule, France 24 et d’autres médias français, balancent ici et là. Pourtant, on découvre un corps de femme, tailladé par des coups de machettes. Instruments qu’utilisent plutôt les « marcheurs pacifiques de Ouattara »au cours de leurs manifestations violentes à Abidjan. Comment est-ce possible que les Fds aient pu délaisser les armes à feu, pour utiliser des machettes ? Dans les éléments filmés par des mobiles, il est établi que les Fds, ont fait usage de Gaz lacrymogène et que jamais, il y a eu un corps-à-corps entre manifestants et Forces de défense et de Sécurité. D’où proviennent donc ces entailles faites aux femmes ? Réponse simple : Certainement des manifestants eux-mêmes, infiltrés par des tueurs à gages de Alassane Ouattara. La vidéo montre bien que parmi eux, certains ont des Rpg, des kalash, des sacs de minutions, et autres armes à feu, scandant, «libérez, libérez».Comme tout acte de terrorisme, ils ont tué froidement dans leur rang, surtout des femmes, pour créer dans l’opinion publique nationale et internationale, une vive réprobation. A Abobo la guerre se vit en temps réel. Ce n’est ni une crise post- électorale, ni un affrontement entre manifestants et forces de l’ordre, c’est une guerre de la Côte d’Ivoire contre le terrorisme. En tout état de cause, face aux Forces de défense nationales, ce ne sont plus des rebelles, mais plutôt des terroristes armés par Blaise Compaoré du Burkina Faso, Wade du Sénégal, Goodluck du Nigeria, l’Onu de Ban Ki-moon et soutenus financièrement, matériellement, logistiquement par la France néocoloniale de Sarkozy. Prendre la commune d’Abobo comme base pour s’élancer à l’assaut de la Côte d’Ivoire. Pour ce faire, ont débarqué à Abidjan via Bouaké, des milliers de mercenaires, éternels chiens de guerre de la sous-région, assoiffés de sang, errant à la recherche de leur pitance. Lesquels sont encadrés par des centaines et des centaines de sous-officiers burkinabè sérieusement formés et aguerris dans la guérilla urbaine au Liberia et en Sierra Leone. Abobo est devenu subitement Pô, le centre de formation et de rassemblement des mercenaires de la sous-région au Burkina Faso. La guerre de la France contre la Côte d’Ivoire est lancée. Elle prend des formes surprenantes. Multiples. Mais elle est soutenue et continue. De même que la résistance ivoirienne pour la souveraineté pleine et entière de la Côte d’Ivoire.
Francesca Adeva
Cette information a été automatiquement relayée depuis hier, par des médias internationaux. Les Fds-Ci ont déclaré purement et simplement ne pas se reconnaître dans cette accusation, forcément mensongère et sans fondement. A l`intention de ces médias qui, de façon curieuse et suspecte, s`accordent autour de cette accusation grave, les Fds-Ci rappellent que des marches similaires de militantes du Rhdp ont eu lieu à Adjamé, à Marcory, à Treichville, à Attécoubé, à Bassam et dans d`autres localités les jours précédents; elles ont été toutes dispersées par des Fds-Ci à l`aide de moyens conventionnels, sans qu`aucun cas de tuerie par balles n`ait été déploré; ni d`actes de barbarie observés. Les Fds-Ci, s`insurgent contre ces adeptes des informations pour qui la légèreté et la manipulation des faits sont établies comme des règles professionnelles. Les forces armées nationales de Côte d’Ivoire ont eu le nez creux en réfutant vigoureusement ces accusations mensongères répandues à dessein par l’international du crime. En effet, moins de trois jours après, les images d’Abobo diffusées par France 24 et d’autres médias, se re- trouvent sur la toile. Elles sont parlantes. Le monde entier découvre stupéfait, l’œuvre de manipulation des sbires de la françafrique en Côte d’Ivoire. La dame supposée morte, ensanglantée, se relève puis, en langue Malinké, une voix lui dit que la mise en scène n’est pas encore achevée et donc qu’elle doit à nouveau faire le mort en se couchant. Ce scénario avait déjà été monté au siège de l’Onuci en Côte d’Ivoire. En effet, devant l’ex-hôtel Sebroko et en présence de médias français, un jeune homme entouré d’une foule de militants du Rdr (parti militarisé de Ouattara Alassane) avait simulé la mort devant les caméras des journalistes. Cette mise en scène dont se sont rendus complices des organisations de défense des Droits de l’Homme, en la prenant à tort pour preuves contre le régime de Gbagbo, est sur la toile (facebook,www.gbagbo.ci et autres). Et comme le chien ne change jamais sa manière de s’asseoir, rebelote ! A Abobo, commune infestée de terroristes à la solde de Alassane Ouattara, pour prendre le pouvoir par les armes, des manifestants notamment des femmes, ont été submergées par des va-t-en guerre dont l’objectif est connu : Faire croire que les soldats loyalistes de la République, tirent sur des manifestants aux mains nues. D’où, la mise en scène grossière et ubuesque, d’Abobo que, sans recule, France 24 et d’autres médias français, balancent ici et là. Pourtant, on découvre un corps de femme, tailladé par des coups de machettes. Instruments qu’utilisent plutôt les « marcheurs pacifiques de Ouattara »au cours de leurs manifestations violentes à Abidjan. Comment est-ce possible que les Fds aient pu délaisser les armes à feu, pour utiliser des machettes ? Dans les éléments filmés par des mobiles, il est établi que les Fds, ont fait usage de Gaz lacrymogène et que jamais, il y a eu un corps-à-corps entre manifestants et Forces de défense et de Sécurité. D’où proviennent donc ces entailles faites aux femmes ? Réponse simple : Certainement des manifestants eux-mêmes, infiltrés par des tueurs à gages de Alassane Ouattara. La vidéo montre bien que parmi eux, certains ont des Rpg, des kalash, des sacs de minutions, et autres armes à feu, scandant, «libérez, libérez».Comme tout acte de terrorisme, ils ont tué froidement dans leur rang, surtout des femmes, pour créer dans l’opinion publique nationale et internationale, une vive réprobation. A Abobo la guerre se vit en temps réel. Ce n’est ni une crise post- électorale, ni un affrontement entre manifestants et forces de l’ordre, c’est une guerre de la Côte d’Ivoire contre le terrorisme. En tout état de cause, face aux Forces de défense nationales, ce ne sont plus des rebelles, mais plutôt des terroristes armés par Blaise Compaoré du Burkina Faso, Wade du Sénégal, Goodluck du Nigeria, l’Onu de Ban Ki-moon et soutenus financièrement, matériellement, logistiquement par la France néocoloniale de Sarkozy. Prendre la commune d’Abobo comme base pour s’élancer à l’assaut de la Côte d’Ivoire. Pour ce faire, ont débarqué à Abidjan via Bouaké, des milliers de mercenaires, éternels chiens de guerre de la sous-région, assoiffés de sang, errant à la recherche de leur pitance. Lesquels sont encadrés par des centaines et des centaines de sous-officiers burkinabè sérieusement formés et aguerris dans la guérilla urbaine au Liberia et en Sierra Leone. Abobo est devenu subitement Pô, le centre de formation et de rassemblement des mercenaires de la sous-région au Burkina Faso. La guerre de la France contre la Côte d’Ivoire est lancée. Elle prend des formes surprenantes. Multiples. Mais elle est soutenue et continue. De même que la résistance ivoirienne pour la souveraineté pleine et entière de la Côte d’Ivoire.
Francesca Adeva