Plusieurs centaines de femmes ont manifesté mardi pour protester contre le meurtre la semaine dernière de sept femmes tuées par les forces de sécurité ivoiriennes dans le quartier d`Abobo, à Abidjan.
En cette Journée internationale de la femme, la manifestation s`est déroulée à l`endroit même où les sept femmes ont été tuées la semaine dernière à la mitraillette par les forces de sécurité loyales à Laurent Gbagbo, alors qu`elles manifestaient contre le président sortant qui refuse toujours de quitter le pouvoir.
Si plusieurs organisateurs de la manifestation avaient choisi de rester chez eux, par peur de représailles de la part des forces de sécurité, plusieurs centaines de femmes se sont, elles, rassemblées dans les rues pour crier leur colère contre le régime de Gbagbo.
Le quartier d`Abobo est le théâtre d`intenses combats depuis plusieurs jours entre policiers fidèles à Laurent Gbagbo et soldats rebelles soutenant son rival, Alassane Ouattara, reconnu par la communauté internationale comme le vainqueur de l`élection présidentielle du 28 novembre.
Plus de 200.000 personnes ont déjà fui le quartier, et les violences ont fait près de 400 morts depuis le scrutin du 28 novembre.
En cette Journée internationale de la femme, la manifestation s`est déroulée à l`endroit même où les sept femmes ont été tuées la semaine dernière à la mitraillette par les forces de sécurité loyales à Laurent Gbagbo, alors qu`elles manifestaient contre le président sortant qui refuse toujours de quitter le pouvoir.
Si plusieurs organisateurs de la manifestation avaient choisi de rester chez eux, par peur de représailles de la part des forces de sécurité, plusieurs centaines de femmes se sont, elles, rassemblées dans les rues pour crier leur colère contre le régime de Gbagbo.
Le quartier d`Abobo est le théâtre d`intenses combats depuis plusieurs jours entre policiers fidèles à Laurent Gbagbo et soldats rebelles soutenant son rival, Alassane Ouattara, reconnu par la communauté internationale comme le vainqueur de l`élection présidentielle du 28 novembre.
Plus de 200.000 personnes ont déjà fui le quartier, et les violences ont fait près de 400 morts depuis le scrutin du 28 novembre.