Ce mardi 8 Mars 2011, journée internationale de la femme, a été l'occasion pour les femmes de Divo, à l'image de leurs sœurs de la Côte d'Ivoire, de dire non à l'imposture, à l'assassinat, et à l'usurpation de pouvoir par Gbagbo
Vêtues de rouge , de blanc ou de noir , plus de 15000 femmes, militantes du RHDP, et de la société civile, ont pris d'assaut le siège du RHDP, très tôt le matin à l'appel de leur leader, pour, d'une part, pleurer leurs sœurs tombées sous les balles assassines de l'usurpateur et d'autres part , dire leur désarroi face à la paupérisation de plus en plus grandissante de la population, à cause de l'entêtement de M. Gbagbo de garder le pouvoir qu'il a perdu depuis le 28 Novembre 2010.
En effet, nombreuses étaient ces femmes de la capitale du Djiboua, venues d'horizon divers, sans distinction de religion et de classes sociales, qui, à travers les rues principales de la ville, ont démontré leur soutien indéfectible au président de la République de Côte d'Ivoire, le Docteur Alassane Dramane Ouattara. Elles ont surtout laissé entendre amertume et mécontentement face aux tueries de leurs époux, leurs enfants et de frères, sans distinction et surtout, la boucherie macabre de leurs sœurs d'Abobo (Abidjan) au son d'ustensiles de cuisine (louches, écumoires, balais, cuillères...) et de feuilles d'arbre, elles ont réclamé le départ immédiat du dictateur de Mama, Laurent Gbagbo, l'installation totale d'ADO, afin que la Côte d'Ivoire puisse reprendre le chemin du développement et de la prospérité, pour le bonheur des Ivoiriens qui souffrent depuis plus de dix ans aujourd'hui.
Majestueusement encadrées par les FDS (Forces de défense et de sécurité), notamment la police, sous les ordres du commissaire du district, le commissaire Ouattara, ces milliers de femmes ont fait une parade légendaire à travers la ville. Derrière elles, une dizaine de milliers de jeunes, bien organisés, assuraient l'arrière-garde afin d'éviter tout débordement.
Cette gigantesque marche a pris fin sans incident aux environs de midi au siège du RHDP, par la lecture d'une motion de soutien aux nouvelles autorités de la Côte d'Ivoire, en présence des responsables locaux du RHDP.
Une correspondance particulière
Vêtues de rouge , de blanc ou de noir , plus de 15000 femmes, militantes du RHDP, et de la société civile, ont pris d'assaut le siège du RHDP, très tôt le matin à l'appel de leur leader, pour, d'une part, pleurer leurs sœurs tombées sous les balles assassines de l'usurpateur et d'autres part , dire leur désarroi face à la paupérisation de plus en plus grandissante de la population, à cause de l'entêtement de M. Gbagbo de garder le pouvoir qu'il a perdu depuis le 28 Novembre 2010.
En effet, nombreuses étaient ces femmes de la capitale du Djiboua, venues d'horizon divers, sans distinction de religion et de classes sociales, qui, à travers les rues principales de la ville, ont démontré leur soutien indéfectible au président de la République de Côte d'Ivoire, le Docteur Alassane Dramane Ouattara. Elles ont surtout laissé entendre amertume et mécontentement face aux tueries de leurs époux, leurs enfants et de frères, sans distinction et surtout, la boucherie macabre de leurs sœurs d'Abobo (Abidjan) au son d'ustensiles de cuisine (louches, écumoires, balais, cuillères...) et de feuilles d'arbre, elles ont réclamé le départ immédiat du dictateur de Mama, Laurent Gbagbo, l'installation totale d'ADO, afin que la Côte d'Ivoire puisse reprendre le chemin du développement et de la prospérité, pour le bonheur des Ivoiriens qui souffrent depuis plus de dix ans aujourd'hui.
Majestueusement encadrées par les FDS (Forces de défense et de sécurité), notamment la police, sous les ordres du commissaire du district, le commissaire Ouattara, ces milliers de femmes ont fait une parade légendaire à travers la ville. Derrière elles, une dizaine de milliers de jeunes, bien organisés, assuraient l'arrière-garde afin d'éviter tout débordement.
Cette gigantesque marche a pris fin sans incident aux environs de midi au siège du RHDP, par la lecture d'une motion de soutien aux nouvelles autorités de la Côte d'Ivoire, en présence des responsables locaux du RHDP.
Une correspondance particulière
