Il se disait patriote
Et pourtant, il coulait de ses yeux diaboliques, des larmes du mal.
Oui, Koudou Gbagbo Laurent, de son regard torve,
Voulait conquérir la Côte d’Ivoire avec de faux yeux de Chimène.
Le voilà, tel Mister Hyde de jour et Docteur Jekyll de nuit,
Se livrer au rite macabre des corps sacrifiés à Belzebuth,
En donnant en offrande, l’âme bénie de nos sœurs, de nos filles et de nos mamans.
La lâcheté veule de ses chiens de garde, de ses hyènes puantes,
A fauché la vie aux êtres chers à notre cœur meurtri à Abobo-la rebelle
Et mon cœur saigne devant tant de larmes et de sang versés,
Pour la rédemption de la mère patrie ensevelie
Sous les cendres du gbagboïsme meurtrier depuis l’aube du millénaire.
Amazones héroïques de la noble cause, de la justice et de la fraternité,
Braves femmes génitrices de vie, d’amour, de bonheur et de paix, je vous salue !
Non, femmes intrépides de Côte d’Ivoire, vous n’êtes point mortes,
Je vous vois dans la splendeur de l’Eden des braves et des justes,
Planant avec la grâce qui vous est familière, sur les toits d’Abobo martyrisée.
Vous continuez de défier, avec l’amour maternel pour seule arme,
Gbagbo-le sanguinaire dans sa vaine tentative
De posséder les âmes indomptables des justes ;
Gbagbo, le souffle de vie une fois franchie la barrière de vos dents,
Croyait vous ôter de notre amour, de notre admiration éternelle.
Non, la flamme vivifiante qui vous animait ne s’éteindra jamais en nous
Vos bras protecteurs brandissant les feuilles de rameaux de la paix,
Pour adoucir le cœur endurci des tueurs encagoulés de la refondation damnée,
Resteront pour toujours dans la mémoire des hommes.
Ce jour du 8 mars 2011, vous sera à jamais dédié pour votre courage.
Jamais les hommes et les femmes d’Eburnie n’oublieront votre sacrifice extrême
Par votre mort injuste, vous avez revigoré notre passion de justice chancelante.
De là-haut, vous protégez la cause du peuple en souffrance.
Du gbagboïsme inhumain sous le regard bienveillant du Tout-Puissant.
Jamais plus nous ne baisserons les bras avant d’atteindre la terre promise,
Sous le guide du brave « tchè », Alassane Dramane Ouattara, le choix de Dieu.
Non femmes d’amour, vous êtes avec nous et parmi nous.
Votre sacrifice a vaincu Gbagbo, le fils de Satan
Se folâtrant dans votre sang sacré, il ironise sur son forfait
Tel un criminel endurci, il continue à narguer les hommes
Sur le chemin de son supplice pour signifier sa faillite morale,
Merci mamans d’amour !
Merci épouses et sœurs d’amour.
Merci vaillantes militantes du RHDP lâchement assassinées.
Gloire à vous, prudes héroïnes de la paix !
Notre victoire sur le mal de Lucifer Koudou Gbagbo Laurent,
Sera la vengeance de votre combat
Pour la paix et la fraternité dans le monde des justes.
Et la Côte d’Ivoire pacifiée et réconciliée,
Vous conduira au Panthéon de gloire pour l’éternité.
Merci mamans chéries !
Le ministre Kobenan
Kouassi Adjoumani
Député à l’Assemblée nationale
Délégué départemental
PDCI-RDA, Tanda I
Et pourtant, il coulait de ses yeux diaboliques, des larmes du mal.
Oui, Koudou Gbagbo Laurent, de son regard torve,
Voulait conquérir la Côte d’Ivoire avec de faux yeux de Chimène.
Le voilà, tel Mister Hyde de jour et Docteur Jekyll de nuit,
Se livrer au rite macabre des corps sacrifiés à Belzebuth,
En donnant en offrande, l’âme bénie de nos sœurs, de nos filles et de nos mamans.
La lâcheté veule de ses chiens de garde, de ses hyènes puantes,
A fauché la vie aux êtres chers à notre cœur meurtri à Abobo-la rebelle
Et mon cœur saigne devant tant de larmes et de sang versés,
Pour la rédemption de la mère patrie ensevelie
Sous les cendres du gbagboïsme meurtrier depuis l’aube du millénaire.
Amazones héroïques de la noble cause, de la justice et de la fraternité,
Braves femmes génitrices de vie, d’amour, de bonheur et de paix, je vous salue !
Non, femmes intrépides de Côte d’Ivoire, vous n’êtes point mortes,
Je vous vois dans la splendeur de l’Eden des braves et des justes,
Planant avec la grâce qui vous est familière, sur les toits d’Abobo martyrisée.
Vous continuez de défier, avec l’amour maternel pour seule arme,
Gbagbo-le sanguinaire dans sa vaine tentative
De posséder les âmes indomptables des justes ;
Gbagbo, le souffle de vie une fois franchie la barrière de vos dents,
Croyait vous ôter de notre amour, de notre admiration éternelle.
Non, la flamme vivifiante qui vous animait ne s’éteindra jamais en nous
Vos bras protecteurs brandissant les feuilles de rameaux de la paix,
Pour adoucir le cœur endurci des tueurs encagoulés de la refondation damnée,
Resteront pour toujours dans la mémoire des hommes.
Ce jour du 8 mars 2011, vous sera à jamais dédié pour votre courage.
Jamais les hommes et les femmes d’Eburnie n’oublieront votre sacrifice extrême
Par votre mort injuste, vous avez revigoré notre passion de justice chancelante.
De là-haut, vous protégez la cause du peuple en souffrance.
Du gbagboïsme inhumain sous le regard bienveillant du Tout-Puissant.
Jamais plus nous ne baisserons les bras avant d’atteindre la terre promise,
Sous le guide du brave « tchè », Alassane Dramane Ouattara, le choix de Dieu.
Non femmes d’amour, vous êtes avec nous et parmi nous.
Votre sacrifice a vaincu Gbagbo, le fils de Satan
Se folâtrant dans votre sang sacré, il ironise sur son forfait
Tel un criminel endurci, il continue à narguer les hommes
Sur le chemin de son supplice pour signifier sa faillite morale,
Merci mamans d’amour !
Merci épouses et sœurs d’amour.
Merci vaillantes militantes du RHDP lâchement assassinées.
Gloire à vous, prudes héroïnes de la paix !
Notre victoire sur le mal de Lucifer Koudou Gbagbo Laurent,
Sera la vengeance de votre combat
Pour la paix et la fraternité dans le monde des justes.
Et la Côte d’Ivoire pacifiée et réconciliée,
Vous conduira au Panthéon de gloire pour l’éternité.
Merci mamans chéries !
Le ministre Kobenan
Kouassi Adjoumani
Député à l’Assemblée nationale
Délégué départemental
PDCI-RDA, Tanda I