Découvertes macabres que celles faites au boulevard de la «Corniche », non loin des locaux de la Pisam, à Cocody. Trois corps sans vie gisaient dans un bas-fond à cet endroit. L’horrible scène a été donnée de voir dans la soirée du mercredi dernier 2 mars. En fait, ce sont des automobilistes et autres passants qui, circulant dans ce secteur, sont frappés par une terrible odeur. Une forte odeur putride qui est servie, au passage du vent. Une puanteur cadavérique vraiment incommodante. La police est alors saisie et invitée à se rendre sur les lieux, pour en savoir davantage. Et c’est donc en effectuant le déplacement que les flics tombent sur l’horreur. Horreur matérialisée par la présence de cadavres de trois solides gaillards, dans un état de putréfaction avancée.
Le premier corps, vêtu que d’un pantalon Jeans, avec le torse nu, présente un orifice de balle, au niveau de la poitrine. En sus, l’homme porte un peu partout sur le corps, d’atroces entailles
faites à l’arme blanche. Le second corps, également torse nu et vêtu d’un pantalon Jeans, est marqué par d’horribles traces de sévices corporelles. Et l’estocade lui a été portée, en toute vraisemblance, par une arme blanche dont se sont servis ses bourreaux, pour l’égorger carrément. Le dernier infortuné, étendu sur le dos et n’ayant pour seul vêtement qu’un pantalon survêtement de couleur bleu, présente les mêmes caractéristiques que le deuxième. A savoir, des traces de violences corporelles et il a aussi la gorge tranchée. Le constat terminé, la police fait appel aux services des pompes funèbres qui procèdent à l’enlèvement des trois dépouilles qui, faut-il le préciser, n’ont pu être identifiées. Faute de documents administratifs. Une enquête, selon nos sources, est en cours pour faire la lumière sur les circonstances de ces morts.
Madeleine TANOU
Le premier corps, vêtu que d’un pantalon Jeans, avec le torse nu, présente un orifice de balle, au niveau de la poitrine. En sus, l’homme porte un peu partout sur le corps, d’atroces entailles
faites à l’arme blanche. Le second corps, également torse nu et vêtu d’un pantalon Jeans, est marqué par d’horribles traces de sévices corporelles. Et l’estocade lui a été portée, en toute vraisemblance, par une arme blanche dont se sont servis ses bourreaux, pour l’égorger carrément. Le dernier infortuné, étendu sur le dos et n’ayant pour seul vêtement qu’un pantalon survêtement de couleur bleu, présente les mêmes caractéristiques que le deuxième. A savoir, des traces de violences corporelles et il a aussi la gorge tranchée. Le constat terminé, la police fait appel aux services des pompes funèbres qui procèdent à l’enlèvement des trois dépouilles qui, faut-il le préciser, n’ont pu être identifiées. Faute de documents administratifs. Une enquête, selon nos sources, est en cours pour faire la lumière sur les circonstances de ces morts.
Madeleine TANOU