L’élimination du président Laurent Gbagbo pour offrir le pouvoir à Alassane Dramane Ouattara, est le projet confié aux missions diplomatiques européennes accréditées dans les pays membres de la Cedeao.
Au regard de leur échec d’écarter Laurent Gbagbo du pouvoir, la France et ses suppôts veulent maintenant attenter à sa vie. En début de semaine, les missions diplomatiques européennes accréditées dans les pays membres de la Communauté économique de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) se sont réunies à Abuja (Nigeria). Selon nos sources, sur injonction de leurs mandants, elles ont décidé de préparer l’élimination physique du président Laurent Gbagbo. Pour la réalisation de ce projet funeste, elles s’appuient sur les forces onusiennes et la composante française de l’Onuci, c’est-à-dire la force Licorne. Qui sont aux côtés de la rébellion de Alassane Dramane Ouattara. C’est vrai que la Licorne se montre discrète ces dernières années, mais c’est elle qui fournit toute la logistique. Toutes les questions relatives à la communication sont de son ressort et elle est même la composante la plus dangereuse de l’Onuci. Dans la perspective d’avoir la peau du président de la République, les forces de l’Onu transportent donc les rebelles. Elles les déposent à divers endroits cibles du pays, leur fournissent l’armement nécessaire et ils exécutent, comme on le constate ces derniers temps, des sales besognes. La région Ouest est devenue une zone de parade des avions de l’Onuci. Le mardi 8 mars 2011, des Mi-24 de l’Onuci ont survolé la zone de San Pedro pendant qu’un autre a été vu dans un campement du village de Izambré (Ouragahio). A cela, il faut ajouter la saisine de 30 conteneurs d’armes de l’Onuci au Cameroun, armes à destination de Bouaké via le Port de San Pedro que cette force veut mettre sous son escarcelle. Dans son plan d’embrasement de la Côte d’Ivoire, la rébellion de l’Onuci veut agir de la façon suivante. Les éléments rebelles de Man vont attaquer la ville de Duékoué; ceux basés à Bouaké vont ouvrir le feu sur Yamoussoukro pendant que ceux de Vavoua mèneront l’offensive sur Daloa. Les éléments de Séguéla feront mouvement à Vavoua en remplacement des combattants partis sur le théâtre des opérations à Daloa. Abidjan va s’occuper d’Abidjan, c’est-à-dire les rebelles héliportés dans le District d’Abidjan vont continuer à semer la désolation comme à Abobo et d’autres sites de la capitale économique du pays. Quant à l’attaque de l’Aéroport Félix Houphouët-Boigny, elle sera l’affaire des rebelles hébergés à Port-Bouet et Koumassi. Ils font courir la rumeur selon laquelle ils s’apprêteraient à attaquer la commune de Yopougon, notamment Gesco. Et invitent leurs proches habitant ce quartier, à le quitter. Ils entendent faire de Gesco leur première base et Azito, la seconde, et étendre leur toile sur toute cette commune majoritairement acquise à la cause de Laurent Gbagbo. Les rebelles auraient ciblé les domiciles des agents des Fds et lancent la rumeur pour déstabiliser les populations. Les missions diplomatiques européennes accréditées dans les pays membres de la Cedeao s’impliquent donc véritablement dans l’exacerbation de la crise ivoirienne en voulant tuer le président Laurent Gbagbo qui ne fait pas l’affaire de Nicolas Sarkozy.
Germain Séhoué
Au regard de leur échec d’écarter Laurent Gbagbo du pouvoir, la France et ses suppôts veulent maintenant attenter à sa vie. En début de semaine, les missions diplomatiques européennes accréditées dans les pays membres de la Communauté économique de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) se sont réunies à Abuja (Nigeria). Selon nos sources, sur injonction de leurs mandants, elles ont décidé de préparer l’élimination physique du président Laurent Gbagbo. Pour la réalisation de ce projet funeste, elles s’appuient sur les forces onusiennes et la composante française de l’Onuci, c’est-à-dire la force Licorne. Qui sont aux côtés de la rébellion de Alassane Dramane Ouattara. C’est vrai que la Licorne se montre discrète ces dernières années, mais c’est elle qui fournit toute la logistique. Toutes les questions relatives à la communication sont de son ressort et elle est même la composante la plus dangereuse de l’Onuci. Dans la perspective d’avoir la peau du président de la République, les forces de l’Onu transportent donc les rebelles. Elles les déposent à divers endroits cibles du pays, leur fournissent l’armement nécessaire et ils exécutent, comme on le constate ces derniers temps, des sales besognes. La région Ouest est devenue une zone de parade des avions de l’Onuci. Le mardi 8 mars 2011, des Mi-24 de l’Onuci ont survolé la zone de San Pedro pendant qu’un autre a été vu dans un campement du village de Izambré (Ouragahio). A cela, il faut ajouter la saisine de 30 conteneurs d’armes de l’Onuci au Cameroun, armes à destination de Bouaké via le Port de San Pedro que cette force veut mettre sous son escarcelle. Dans son plan d’embrasement de la Côte d’Ivoire, la rébellion de l’Onuci veut agir de la façon suivante. Les éléments rebelles de Man vont attaquer la ville de Duékoué; ceux basés à Bouaké vont ouvrir le feu sur Yamoussoukro pendant que ceux de Vavoua mèneront l’offensive sur Daloa. Les éléments de Séguéla feront mouvement à Vavoua en remplacement des combattants partis sur le théâtre des opérations à Daloa. Abidjan va s’occuper d’Abidjan, c’est-à-dire les rebelles héliportés dans le District d’Abidjan vont continuer à semer la désolation comme à Abobo et d’autres sites de la capitale économique du pays. Quant à l’attaque de l’Aéroport Félix Houphouët-Boigny, elle sera l’affaire des rebelles hébergés à Port-Bouet et Koumassi. Ils font courir la rumeur selon laquelle ils s’apprêteraient à attaquer la commune de Yopougon, notamment Gesco. Et invitent leurs proches habitant ce quartier, à le quitter. Ils entendent faire de Gesco leur première base et Azito, la seconde, et étendre leur toile sur toute cette commune majoritairement acquise à la cause de Laurent Gbagbo. Les rebelles auraient ciblé les domiciles des agents des Fds et lancent la rumeur pour déstabiliser les populations. Les missions diplomatiques européennes accréditées dans les pays membres de la Cedeao s’impliquent donc véritablement dans l’exacerbation de la crise ivoirienne en voulant tuer le président Laurent Gbagbo qui ne fait pas l’affaire de Nicolas Sarkozy.
Germain Séhoué