Le Bureau ivoirien des droits d'auteurs (Burida) traverse en ce moment une période financière très difficile. Pour résister à cette crise sans nom, Gadji Celi et son équipe viennent, par ces temps pénibles, de mettre à la rue quarante-cinq (45) employés.
Ces pauvres travailleurs sont pour certains sous contrat à durée déterminée (Cdd) et d'autres sous contrat à durée indéterminée(Cdi). Ils sont renvoyés, à en croire notre informateur, sans percevoir le moindre droit. Alors que Gadji Celi (Pca), Michel Barouan (Dg), leur doivent auparavant, trois (03) mois de salaire (décembre, janvier et Février).
Selon les informations en notre possession, les difficultés financières sont la conséquence de la mauvaise gestion du Burida de Gadji Celi. La preuve, selon notre source, les 176 millions de francs Cfa payés par l'Onuci au titre des droits d'auteur ont disparu des caisses de la structure. La même source souligne que, depuis, même les droits d'auteur des artistes ne sont pas payés. Alors que, poursuit-elle, le Pca et son Dg se tapent respectivement sept (07) et cinq (05) millions de francs Cfa de salaire mensuel. Au regard donc de ces graves dysfonctionnements, des artistes demandent au gouvernement du président Alassane Ouattara de mettre de l'ordre dans leur maison commune " Cette maison par le passé fonctionnait bien.
Mais aujourd'hui, elle est à genoux. Nous appelons les autorités compétentes à nous débarrasser de cette équipe " a fait savoir notre interlocuteur. Pour en savoir davantage sur cette affaire, nous nous sommes rendus au Burida pour avoir la version du Pca et du Dg. Malheureusement, aucun d'eux n'était à son bureau. De toutes les façons. Gadji Celi a promis ne plus parler à " Le Nouveau Réveil " jusqu'à nouvel ordre. Mais le seul élément de preuve que nous avons eu cependant, c'est l'affichage de la liste des 45 employés partants.
Aney Yiwo
Ces pauvres travailleurs sont pour certains sous contrat à durée déterminée (Cdd) et d'autres sous contrat à durée indéterminée(Cdi). Ils sont renvoyés, à en croire notre informateur, sans percevoir le moindre droit. Alors que Gadji Celi (Pca), Michel Barouan (Dg), leur doivent auparavant, trois (03) mois de salaire (décembre, janvier et Février).
Selon les informations en notre possession, les difficultés financières sont la conséquence de la mauvaise gestion du Burida de Gadji Celi. La preuve, selon notre source, les 176 millions de francs Cfa payés par l'Onuci au titre des droits d'auteur ont disparu des caisses de la structure. La même source souligne que, depuis, même les droits d'auteur des artistes ne sont pas payés. Alors que, poursuit-elle, le Pca et son Dg se tapent respectivement sept (07) et cinq (05) millions de francs Cfa de salaire mensuel. Au regard donc de ces graves dysfonctionnements, des artistes demandent au gouvernement du président Alassane Ouattara de mettre de l'ordre dans leur maison commune " Cette maison par le passé fonctionnait bien.
Mais aujourd'hui, elle est à genoux. Nous appelons les autorités compétentes à nous débarrasser de cette équipe " a fait savoir notre interlocuteur. Pour en savoir davantage sur cette affaire, nous nous sommes rendus au Burida pour avoir la version du Pca et du Dg. Malheureusement, aucun d'eux n'était à son bureau. De toutes les façons. Gadji Celi a promis ne plus parler à " Le Nouveau Réveil " jusqu'à nouvel ordre. Mais le seul élément de preuve que nous avons eu cependant, c'est l'affichage de la liste des 45 employés partants.
Aney Yiwo