Un convoi de la mission de l`ONU en Côte d`Ivoire (Onuci) est tombé dans une "embuscade", mercredi au nord d`Abidjan, tendue par des hommes armés non identifiés, "obligeant l`escorte à riposter pour se frayer un chemin", a indiqué jeudi à l`AFP le porte-parole de l`Onuci.
Sur la route d`Adzopé, une ville à environ 100 km au nord d`Abidjan, le
convoi allait "ravitailler nos Casques bleus. C`était mercredi matin à 05H20
(locales et GMT). Nous ne déplorons aucun blessé mais le camion frigorifique a
reçu neuf impacts de balles", a précisé Hamadoun Touré.
L`Onuci, qui n`a pas identifié ces assaillants, a, à plusieurs reprises au
cours des dernières semaines, dénoncé des attaques à son encontre de partisans
ou de forces loyales au président sortant Laurent Gbagbo.
Un membre ghanéen de la force onusienne avait été blessé samedi à Abidjan
par "un groupe de jeunes", présentés par des témoins comme des "patriotes"
pro-Gbagbo, lors de l`attaque d`un véhicule civil de l`Onuci qui a été
incendié, selon la mission.
Le camp Gbagbo réclame le départ de la mission onusienne et de la force
française Licorne qui l`appuie, les accusant de soutenir les "rebelles" alliés
à Alassane Ouattara, reconnu président ivoirien par la communauté
internationale.
Sur la route d`Adzopé, une ville à environ 100 km au nord d`Abidjan, le
convoi allait "ravitailler nos Casques bleus. C`était mercredi matin à 05H20
(locales et GMT). Nous ne déplorons aucun blessé mais le camion frigorifique a
reçu neuf impacts de balles", a précisé Hamadoun Touré.
L`Onuci, qui n`a pas identifié ces assaillants, a, à plusieurs reprises au
cours des dernières semaines, dénoncé des attaques à son encontre de partisans
ou de forces loyales au président sortant Laurent Gbagbo.
Un membre ghanéen de la force onusienne avait été blessé samedi à Abidjan
par "un groupe de jeunes", présentés par des témoins comme des "patriotes"
pro-Gbagbo, lors de l`attaque d`un véhicule civil de l`Onuci qui a été
incendié, selon la mission.
Le camp Gbagbo réclame le départ de la mission onusienne et de la force
française Licorne qui l`appuie, les accusant de soutenir les "rebelles" alliés
à Alassane Ouattara, reconnu président ivoirien par la communauté
internationale.
