NEW YORK (Nations unies) - Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a exhorté vendredi le Conseil de sécurité à prendre "de nouvelles mesures" à l'encontre des Ivoiriens à l'origine des violences qui ont fait jeudi entre 25 et 30 morts.
"Le secrétaire général exhorte le Conseil de sécurité à prendre de
nouvelles mesures à l'encontre des Ivoiriens qui sont à l'origine, orchestrent
et commettent des violences", a déclaré un porte-parole de M. Ban dans un
communiqué.
L'escalade des violences dans le pays a été marquée jeudi, selon l'ONU, par
la mort de 25 à 30 civils tués par les "forces armées du camp" du président
sortant Laurent Gbagbo, dans le quartier d'Abobo (nord), fief électoral
d'Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté internationale.
Ban Ki-moon s'est dit "choqué" et a "condamné" un tel massacre ainsi que
"l'escalade de la violence à Abidjan et dans l'ouest de la Côte d'Ivoire".
"Les forces de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) vont
poursuivre leur enquête sur de telles violations des droits de l'homme et
continueront à prendre les mesures nécessaires pour protéger la population
civile", a ajouté Ban Ki-moon.
Laurent Gbagbo s'est dit prêt vendredi à un "dialogue" avec son rival
Alassane Ouattara et a appelé les combattants du camp adverse à "déposer les
armes", au moment où l'intensification des violences fait craindre une guerre
civile.
Depuis mi-février, les affrontements se multiplient à Abidjan entre
insurgés pro-Ouattara et Forces de défense et de sécurité (FDS) fidèles à M.
Gbagbo, menaçant le régime en place jusqu'aux abords du Plateau, le quartier
du palais présidentiel.
"Le secrétaire général exhorte le Conseil de sécurité à prendre de
nouvelles mesures à l'encontre des Ivoiriens qui sont à l'origine, orchestrent
et commettent des violences", a déclaré un porte-parole de M. Ban dans un
communiqué.
L'escalade des violences dans le pays a été marquée jeudi, selon l'ONU, par
la mort de 25 à 30 civils tués par les "forces armées du camp" du président
sortant Laurent Gbagbo, dans le quartier d'Abobo (nord), fief électoral
d'Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté internationale.
Ban Ki-moon s'est dit "choqué" et a "condamné" un tel massacre ainsi que
"l'escalade de la violence à Abidjan et dans l'ouest de la Côte d'Ivoire".
"Les forces de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) vont
poursuivre leur enquête sur de telles violations des droits de l'homme et
continueront à prendre les mesures nécessaires pour protéger la population
civile", a ajouté Ban Ki-moon.
Laurent Gbagbo s'est dit prêt vendredi à un "dialogue" avec son rival
Alassane Ouattara et a appelé les combattants du camp adverse à "déposer les
armes", au moment où l'intensification des violences fait craindre une guerre
civile.
Depuis mi-février, les affrontements se multiplient à Abidjan entre
insurgés pro-Ouattara et Forces de défense et de sécurité (FDS) fidèles à M.
Gbagbo, menaçant le régime en place jusqu'aux abords du Plateau, le quartier
du palais présidentiel.
