Le Conseil de sécurité de l`ONU a exprimé lundi "son indignation" après la mort de 25 à 30 civils tués jeudi à Abidjan lors d`un bombardement que les Nations unies imputent aux forces armées du président sortant Laurent Gbagbo.
"Les membres du Conseil de sécurité expriment leur indignation", a déclaré
Wang Min, ambassadeur adjoint de Chine, dont le pays assure en mars la
présidence tournante du Conseil de sécurité.
"De tels crimes ne resteront pas impunis et les auteurs seront tenus
responsables", a-t-il ajouté.
L`escalade des violences dans le pays a été marquée jeudi, selon l`ONU,
par la mort de 25 à 30 civils tués par les "forces armées du camp" du
président sortant Laurent Gbagbo, dans le quartier d`Abobo (nord), fief
électoral d`Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté
internationale.
Les quinze membres du Conseil de sécurité "condamnent toute violence
commise par tout groupe ivoirien contre des civils désarmés" et réaffirment
"leur détermination à imposer des mesures, y compris des sanctions ciblées
contre ceux qui font obstacle à la résolution pacifique de la crise et au
travail de l`Onuci (forces de l`Onu en Côte d`Ivoire)", a ajouté M. Wang.
Vendredi, le secrétaire général de l`ONU Ban Ki-moon avait exhorté le
Conseil de sécurité à prendre "de nouvelles mesures" à l`encontre des
Ivoiriens à l`origine de ces violences.
"Les membres du Conseil de sécurité expriment leur indignation", a déclaré
Wang Min, ambassadeur adjoint de Chine, dont le pays assure en mars la
présidence tournante du Conseil de sécurité.
"De tels crimes ne resteront pas impunis et les auteurs seront tenus
responsables", a-t-il ajouté.
L`escalade des violences dans le pays a été marquée jeudi, selon l`ONU,
par la mort de 25 à 30 civils tués par les "forces armées du camp" du
président sortant Laurent Gbagbo, dans le quartier d`Abobo (nord), fief
électoral d`Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté
internationale.
Les quinze membres du Conseil de sécurité "condamnent toute violence
commise par tout groupe ivoirien contre des civils désarmés" et réaffirment
"leur détermination à imposer des mesures, y compris des sanctions ciblées
contre ceux qui font obstacle à la résolution pacifique de la crise et au
travail de l`Onuci (forces de l`Onu en Côte d`Ivoire)", a ajouté M. Wang.
Vendredi, le secrétaire général de l`ONU Ban Ki-moon avait exhorté le
Conseil de sécurité à prendre "de nouvelles mesures" à l`encontre des
Ivoiriens à l`origine de ces violences.