Le Conseil de Paix et de Sécurité de l'Union Africaine (CPS/UA), en sa 265ème réunion, tenue le 10 mars 2011, au niveau des chefs d’Etat et de Gouvernement, a confirmé les résultats de la présidentielle ivoirienne du 28 novembre 2010 qui a vu l’élection de SEM Alassane OUATTARA, en qualité de Président de la République de Côte d’Ivoire.
Nous saluons cette décision du CPS/UA et remercions tous les chefs d’Etat qui y ont contribué et en particulier les cinq chefs d’Etat du groupe de haut niveau que sont : Les présidents Mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, Tchadien Idriss Deby Itno, Sud-Africain Jacob Zuma, Burkinabé Blaise COMPAORE et Tanzanien Jakaya KIKWETE.
Nous remercions particulièrement les Présidents des Commissions de l’Union africaine (UA) et de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Dr. Jean Ping et M. James Victor Gbeho, pour leur contribution et leur disponibilité à la recherche d’une solution à la crise actuelle en Côte d’Ivoire
Nos remerciements vont également à l’endroit de toute la communauté internationale notamment : l’Organisation des nations unies (ONU) et l’union européenne (UE) pour leur contribution à la sortie de crise en Côte d’Ivoire.
Le ballet diplomatique déployé autour de la Côte d’Ivoire depuis le 28 novembre 2010 est, en effet, le signe le plus patent de la solidarité de la communauté internationale pour trouver une solution pacifique à la crise post-électorale que vit notre pays.
Toutefois, il s’avère que le nombre en victimes humaines de cette voix de sagesse s’accroit chaque jour, à une vitesse déplorable. Les populations civiles, prises en otage, ne savent plus à quel saint se vouer. La barbarie que le régime GBAGBO veut imposer à la Côte d’Ivoire s’amplifie chaque jour.
• Face aux appels à la haine, au génocide, aux massacres, aux tueries, à la guérilla urbaine, à la chasse aux militants du RHDP, à l’épuration ethnique et religieuse du camp GBAGBO et l’exode des populations civiles ;
• face à la faim, à la soif et au manque de soins, nos enfants, nos femmes, bref … les populations vivant en Côte d’Ivoire notamment à Abidjan ;
• face au drame humanitaire qui s’installe en Côte d’Ivoire,
la Délégation du RHDP au Burkina Faso lance un cri de cœur à la communauté internationale notamment l’ONU, l’UNICEF, le HCR, le PAM, le Conseil de sécurité de l’ONU, de l’UA, la CEDEAO et l’UE de poursuivre sans relâche sa sollicitude en faveur de la Côte d’Ivoire pour :
• l’installation, dans les plus brefs délais, de son Président démocratiquement élu Alassane OUATTARA.
• accompagner le pays à traverser très rapidement ces moments de crise si douloureux,
• un soutien plus effectif aux populations civiles vivant en Côte d’Ivoire, du Nord au Sud et d’Est à l’Ouest, toute tendance politique et religieuse confondue, dans la détresse, la faim et la terreur.
Recommande donc à l’UA, la CEDEAO, l’UE, l’ONU :
• plus de fermeté face à aux agissements du régime barbare et vicieux de Laurent GBAGBO,
• et l’adoption d’une solution concrète pour mettre fin définitivement à cette crise artificiellement créée par le clan GBAGBO, pour lui servir de moyen de pression et de chantage dans le but de s’accrocher, même partiellement, à un pouvoir qu’il sait pourtant avoir perdu par les urnes.
Sollicite de l’ONU que les forces déjà présentes sur le terrain, celles de l’ONUCI et la Licorne, une révision urgente des mandats pour leur permettre de désarmer et de mettre hors d’état de nuire tous ces bandits armés en uniformes que sont : les miliciens, les mercenaires et les Forces de Défense et de Sécurité (Fds) pro-GBAGBO qui massacrent, tuent tous les jours femmes et enfants.
Fait à Ouagadougou, le 21 mars 2011
Pour le Directoire du RHDP
Abraham KACOU
Nous saluons cette décision du CPS/UA et remercions tous les chefs d’Etat qui y ont contribué et en particulier les cinq chefs d’Etat du groupe de haut niveau que sont : Les présidents Mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, Tchadien Idriss Deby Itno, Sud-Africain Jacob Zuma, Burkinabé Blaise COMPAORE et Tanzanien Jakaya KIKWETE.
Nous remercions particulièrement les Présidents des Commissions de l’Union africaine (UA) et de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Dr. Jean Ping et M. James Victor Gbeho, pour leur contribution et leur disponibilité à la recherche d’une solution à la crise actuelle en Côte d’Ivoire
Nos remerciements vont également à l’endroit de toute la communauté internationale notamment : l’Organisation des nations unies (ONU) et l’union européenne (UE) pour leur contribution à la sortie de crise en Côte d’Ivoire.
Le ballet diplomatique déployé autour de la Côte d’Ivoire depuis le 28 novembre 2010 est, en effet, le signe le plus patent de la solidarité de la communauté internationale pour trouver une solution pacifique à la crise post-électorale que vit notre pays.
Toutefois, il s’avère que le nombre en victimes humaines de cette voix de sagesse s’accroit chaque jour, à une vitesse déplorable. Les populations civiles, prises en otage, ne savent plus à quel saint se vouer. La barbarie que le régime GBAGBO veut imposer à la Côte d’Ivoire s’amplifie chaque jour.
• Face aux appels à la haine, au génocide, aux massacres, aux tueries, à la guérilla urbaine, à la chasse aux militants du RHDP, à l’épuration ethnique et religieuse du camp GBAGBO et l’exode des populations civiles ;
• face à la faim, à la soif et au manque de soins, nos enfants, nos femmes, bref … les populations vivant en Côte d’Ivoire notamment à Abidjan ;
• face au drame humanitaire qui s’installe en Côte d’Ivoire,
la Délégation du RHDP au Burkina Faso lance un cri de cœur à la communauté internationale notamment l’ONU, l’UNICEF, le HCR, le PAM, le Conseil de sécurité de l’ONU, de l’UA, la CEDEAO et l’UE de poursuivre sans relâche sa sollicitude en faveur de la Côte d’Ivoire pour :
• l’installation, dans les plus brefs délais, de son Président démocratiquement élu Alassane OUATTARA.
• accompagner le pays à traverser très rapidement ces moments de crise si douloureux,
• un soutien plus effectif aux populations civiles vivant en Côte d’Ivoire, du Nord au Sud et d’Est à l’Ouest, toute tendance politique et religieuse confondue, dans la détresse, la faim et la terreur.
Recommande donc à l’UA, la CEDEAO, l’UE, l’ONU :
• plus de fermeté face à aux agissements du régime barbare et vicieux de Laurent GBAGBO,
• et l’adoption d’une solution concrète pour mettre fin définitivement à cette crise artificiellement créée par le clan GBAGBO, pour lui servir de moyen de pression et de chantage dans le but de s’accrocher, même partiellement, à un pouvoir qu’il sait pourtant avoir perdu par les urnes.
Sollicite de l’ONU que les forces déjà présentes sur le terrain, celles de l’ONUCI et la Licorne, une révision urgente des mandats pour leur permettre de désarmer et de mettre hors d’état de nuire tous ces bandits armés en uniformes que sont : les miliciens, les mercenaires et les Forces de Défense et de Sécurité (Fds) pro-GBAGBO qui massacrent, tuent tous les jours femmes et enfants.
Fait à Ouagadougou, le 21 mars 2011
Pour le Directoire du RHDP
Abraham KACOU