Dans la gestion de la crise postélectorale, après la brillante victoire du président Alassane Ouattara, au deuxième tour de la présidentielle ivoirienne. Les populations de Zuénoula, encadrées par le maire centriste, Zan Bi Goï Ferdinand, ont décidé d'adjoindre leurs voix à celles du peuple ivoirien et mener des actions concrètes pour dire non à Laurent Gbagbo. « Vous avez perdu les élections présidentielles ivoiriennes. Donc dégagez afin que la Côte d'Ivoire se mette sur les rails avec le messie, Alassane Ouattara », ont déclaré les différents intervenants au meeting de mobilisation organisé par les femmes du RHDP sous la supervision du maire, président de cette formation politique des Houphouëtistes, le week-end dernier.
Pour Zan Bi Goï Ferdinand, qui lançait un appel aux Ivoiriennes et Ivoiriens de tout bord, « le président Alassane Ouattara, est sous blocus au Golf. » Tous dit-il, ont « le devoir d’y mettre fin.» A l'en croire, il ne s'agit pas seulement d'une affaire du RHDP. Mais plutôt, de tous les habitants du pays y compris Laurent Gbagbo, le président sortant et vaincu au soir du 28 novembre dernier au second tour de la présidentielle. Avant de s'indigner des nombreuses tueries gratuites orchestrées par le clan Gbagbo et ses mercenaires, surtout celles des femmes d'Abobo.
Le président du RHDP du département de Zuénoula, ira plus loin en dénonçant le comportement passif de l'Onu-Ci devant cette grave atteinte au droit à la vie. Selon lui, avant le 28 novembre, date du dernier tour de la présidentielle donnant la victoire à Alassane Ouattara. L'impartialité de l'ONU-CI pouvait se justifier. Dès lors, elle-même a reconnu la victoire du président Ouattara, elle devait s'imposer face à toute tentative de confiscation du pouvoir du président sortant, Laurent Gbagbo et son clan qui utilisent tous les moyens pour que le pays connaisse le spectre du Rwanda. C'est pourquoi, la population de Zuénoula, dit non à Gbagbo et interpelle l'ONU afin que le droit soit prononcé. Entre autres motions, le chef de cabinet du maire, M. Soumahoro, a lu la motion de soutien de la population au président des ivoiriens, Alassane Ouattara. Toutes les motions ont été remises au préfet. Lequel a promis de les transmettre à qui de droit.
JM
Pour Zan Bi Goï Ferdinand, qui lançait un appel aux Ivoiriennes et Ivoiriens de tout bord, « le président Alassane Ouattara, est sous blocus au Golf. » Tous dit-il, ont « le devoir d’y mettre fin.» A l'en croire, il ne s'agit pas seulement d'une affaire du RHDP. Mais plutôt, de tous les habitants du pays y compris Laurent Gbagbo, le président sortant et vaincu au soir du 28 novembre dernier au second tour de la présidentielle. Avant de s'indigner des nombreuses tueries gratuites orchestrées par le clan Gbagbo et ses mercenaires, surtout celles des femmes d'Abobo.
Le président du RHDP du département de Zuénoula, ira plus loin en dénonçant le comportement passif de l'Onu-Ci devant cette grave atteinte au droit à la vie. Selon lui, avant le 28 novembre, date du dernier tour de la présidentielle donnant la victoire à Alassane Ouattara. L'impartialité de l'ONU-CI pouvait se justifier. Dès lors, elle-même a reconnu la victoire du président Ouattara, elle devait s'imposer face à toute tentative de confiscation du pouvoir du président sortant, Laurent Gbagbo et son clan qui utilisent tous les moyens pour que le pays connaisse le spectre du Rwanda. C'est pourquoi, la population de Zuénoula, dit non à Gbagbo et interpelle l'ONU afin que le droit soit prononcé. Entre autres motions, le chef de cabinet du maire, M. Soumahoro, a lu la motion de soutien de la population au président des ivoiriens, Alassane Ouattara. Toutes les motions ont été remises au préfet. Lequel a promis de les transmettre à qui de droit.
JM