Le Conseil de sécurité des Nations unies se réunira mercredi à 21H00 GMT pour se prononcer sur un projet de résolution instituant des sanctions à l`encontre du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo et de ses proches, ont annoncé des diplomates.
La France avait fait pression pour que ce vote ait lieu mercredi ou jeudi.
Le texte demande à Laurent Gbagbo de partir et de laisser la place au
président reconnu internationalement Alassane Ouattara.
Mais certains pays ont des réserves sur certains passages du projet de
résolution, ont souligné des diplomates.
La Chine, la Russie, le Brésil et l`Inde sont opposés à l`étendue des
sanctions proposées dans le projet de résolution que la France et le Nigeria
ont soumis au Conseil de sécurité, selon ces diplomates.
Le projet de résolution prévoit des sanctions à l`encontre de Laurent
Gbagbo et de quatre personnes de son entourage, y compris sa femme Simone. Ces
sanctions concernent un gel des avoirs financiers et une interdiction de
voyager. L`Union européenne et les Etats-Unis ont déjà imposé des sanctions
similaires contre Laurent Gbagbo et son entourage.
La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao, 15 pays) a
déclaré jeudi dernier qu`elle souhaitait que l`ONU adopte des sanctions "plus
contraignantes" à l`encontre de Laurent Gbagbo.
Les forces de M. Ouattara ont pris le contrôle mercredi, au troisième jour
de leur offensive, de la capitale politique Yamoussoukro et avançaient vers
San Pedro, plus important port d`exportation de cacao au monde.
La France avait fait pression pour que ce vote ait lieu mercredi ou jeudi.
Le texte demande à Laurent Gbagbo de partir et de laisser la place au
président reconnu internationalement Alassane Ouattara.
Mais certains pays ont des réserves sur certains passages du projet de
résolution, ont souligné des diplomates.
La Chine, la Russie, le Brésil et l`Inde sont opposés à l`étendue des
sanctions proposées dans le projet de résolution que la France et le Nigeria
ont soumis au Conseil de sécurité, selon ces diplomates.
Le projet de résolution prévoit des sanctions à l`encontre de Laurent
Gbagbo et de quatre personnes de son entourage, y compris sa femme Simone. Ces
sanctions concernent un gel des avoirs financiers et une interdiction de
voyager. L`Union européenne et les Etats-Unis ont déjà imposé des sanctions
similaires contre Laurent Gbagbo et son entourage.
La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao, 15 pays) a
déclaré jeudi dernier qu`elle souhaitait que l`ONU adopte des sanctions "plus
contraignantes" à l`encontre de Laurent Gbagbo.
Les forces de M. Ouattara ont pris le contrôle mercredi, au troisième jour
de leur offensive, de la capitale politique Yamoussoukro et avançaient vers
San Pedro, plus important port d`exportation de cacao au monde.