PARIS,Amnesty International a mis en garde jeudi
contre un risque de "violations massives des droits de l`Homme" au moment où
les forces d`Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté
internationale, entreraient à Abidjan, ville "au bord du chaos".
"Abidjan est sur le point de vivre une catastrophe humanitaire et est au
bord du chaos", a déclaré Salvatore Saguès, chercheur à Amnesty International
pour l`Afrique de l`Ouest, dans un communiqué de l`ONG.
"Les civils ivoiriens sont confrontés à un risque immédiat de violations
massives des droits de l`Homme, alors que les forces d`Alassane Ouattara
atteignent la capitale économique du pays, Abidjan", indique le communiqué.
Amnesty a observé une "escalade de la violence" à mesure de la progression
des troupes d`Alassane Ouattara, qui mènent depuis trois jours une campagne
éclair qui les a conduits aux portes d`Abidjan. L`ONG dénonce des crimes
commis par les forces loyales au président sortant Laurent Gbagbo mais aussi
par celles de M. Ouattara.
"Les parties prenantes au conflit doivent immédiatement cesser de s`en
prendre à la population civile", a poursuivi Salvatore Saguès, avant d`appeler
la communauté internationale à prendre des "mesures immédiates pour protéger
la population civile".
contre un risque de "violations massives des droits de l`Homme" au moment où
les forces d`Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté
internationale, entreraient à Abidjan, ville "au bord du chaos".
"Abidjan est sur le point de vivre une catastrophe humanitaire et est au
bord du chaos", a déclaré Salvatore Saguès, chercheur à Amnesty International
pour l`Afrique de l`Ouest, dans un communiqué de l`ONG.
"Les civils ivoiriens sont confrontés à un risque immédiat de violations
massives des droits de l`Homme, alors que les forces d`Alassane Ouattara
atteignent la capitale économique du pays, Abidjan", indique le communiqué.
Amnesty a observé une "escalade de la violence" à mesure de la progression
des troupes d`Alassane Ouattara, qui mènent depuis trois jours une campagne
éclair qui les a conduits aux portes d`Abidjan. L`ONG dénonce des crimes
commis par les forces loyales au président sortant Laurent Gbagbo mais aussi
par celles de M. Ouattara.
"Les parties prenantes au conflit doivent immédiatement cesser de s`en
prendre à la population civile", a poursuivi Salvatore Saguès, avant d`appeler
la communauté internationale à prendre des "mesures immédiates pour protéger
la population civile".