PARIS - Une cinquantaine de soldats français patrouillent en Zone 4 à Abidjan, un quartier sud de la ville où habitent des ressortissants européens, pour éviter les pillages et sans avoir pour le moment "été pris à partie", a indiqué jeudi à Paris l`état-major des armées.
"Plus qu`une accumulation de forces de sécurité, il y a plutôt une sorte de
vide sécuritaire dans certains quartiers d`Abidjan. Quelques groupes crapuleux
tentent de profiter de la situation et se livrent à quelques pillages", a
indiqué à l`AFP le porte-parole de l`état-major, le colonel Thierry Burkhard.
Selon le porte-parole, la force française Licorne "a déployé trois ou
quatre patrouilles renforcées", soit "une cinquantaine de soldats en tout".
"Nous n`avons pas été pris à partie, nous n`avons pas eu besoin d`ouvrir le
feu et pour l`instant nous continuons nos patrouilles dans cette zone-là",
a-t-il précisé, en soulignant que la situation à Abidjan "évolue très vite".
"Il n`y a pas eu d`incident. La zone sur laquelle on a un visuel est plutôt
une sorte de vide sécuritaire, ce sont des groupes crapuleux qui cherchent à
profiter de la situation", a poursuivi le colonel Burkhard.
"Plus qu`une accumulation de forces de sécurité, il y a plutôt une sorte de
vide sécuritaire dans certains quartiers d`Abidjan. Quelques groupes crapuleux
tentent de profiter de la situation et se livrent à quelques pillages", a
indiqué à l`AFP le porte-parole de l`état-major, le colonel Thierry Burkhard.
Selon le porte-parole, la force française Licorne "a déployé trois ou
quatre patrouilles renforcées", soit "une cinquantaine de soldats en tout".
"Nous n`avons pas été pris à partie, nous n`avons pas eu besoin d`ouvrir le
feu et pour l`instant nous continuons nos patrouilles dans cette zone-là",
a-t-il précisé, en soulignant que la situation à Abidjan "évolue très vite".
"Il n`y a pas eu d`incident. La zone sur laquelle on a un visuel est plutôt
une sorte de vide sécuritaire, ce sont des groupes crapuleux qui cherchent à
profiter de la situation", a poursuivi le colonel Burkhard.