WASHINGTON,La Maison Blanche a une nouvelle fois
appelé Laurent Gbagbo à quitter le pouvoir, peu avant l`expiration jeudi à
19H00 GMT d`un ultimatum du camp de son adversaire Alassane Ouattara qui a
pris ces derniers jours l`ascendant sur les forces du président ivoirien
sortant.
Interrogé par l`AFP sur la possibilité de voir les Etats-Unis proposer à M.
Gbagbo une porte de sortie, comme des responsables américains l`ont évoqué
depuis le début de la crise fin 2010, le porte-parole de la Maison Blanche,
Jay Carney a répondu "attendre de voir si Laurent Gbagbo parle".
Ce dernier, selon le camp de M. Ouattara, est encerclé à Abidjan. L`ONU a
affirmé que la plupart des membres des forces armées l`avaient abandonné, au
quatrième jour d`une offensive éclair de son rival.
Le Premier ministre désigné par M. Ouattara, Guillaume Soro, a affirmé à
l`AFP que M. Gbagbo avait "jusqu`à 19H00 (locales et GMT) pour démissionner",
sinon "on viendra, hélas, le chercher là où il est".
Selon M. Carney, "nous espérons que (M. Gbagbo) agira dans le meilleur
intérêt des Ivoiriens en évitant la guerre, en démissionnant et en respectant
les résultats de l`élection" présidentielle de fin novembre.
appelé Laurent Gbagbo à quitter le pouvoir, peu avant l`expiration jeudi à
19H00 GMT d`un ultimatum du camp de son adversaire Alassane Ouattara qui a
pris ces derniers jours l`ascendant sur les forces du président ivoirien
sortant.
Interrogé par l`AFP sur la possibilité de voir les Etats-Unis proposer à M.
Gbagbo une porte de sortie, comme des responsables américains l`ont évoqué
depuis le début de la crise fin 2010, le porte-parole de la Maison Blanche,
Jay Carney a répondu "attendre de voir si Laurent Gbagbo parle".
Ce dernier, selon le camp de M. Ouattara, est encerclé à Abidjan. L`ONU a
affirmé que la plupart des membres des forces armées l`avaient abandonné, au
quatrième jour d`une offensive éclair de son rival.
Le Premier ministre désigné par M. Ouattara, Guillaume Soro, a affirmé à
l`AFP que M. Gbagbo avait "jusqu`à 19H00 (locales et GMT) pour démissionner",
sinon "on viendra, hélas, le chercher là où il est".
Selon M. Carney, "nous espérons que (M. Gbagbo) agira dans le meilleur
intérêt des Ivoiriens en évitant la guerre, en démissionnant et en respectant
les résultats de l`élection" présidentielle de fin novembre.