Les tirs ont fortement baissé en intensité
vendredi après-midi à Abidjan dans les deux zones principales où de violents
combats opposaient depuis la veille les forces du président sortant Laurent
Gbagbo et d'Alassane Ouattara, ont indiqué des habitants et des journalistes
de l'AFP.
Dans le quartier de Cocody (nord), dans le périmètre de la résidence de M.
Gbagbo et de la télévision d'Etat RTI, "les tirs à l'arme lourde ont cessé
vers 15H00 (locales et GMT). Mais une trentaine de minutes plus tard il y
avait des tirs sporadiques à l'arme légère", a indiqué à l'AFP une résidente.
"Les combats ont cessé", a affirmé un autre habitant, évoquant seulement
des "rafales sporadiques".
Dans le quartier du Plateau, abritant le palais présidentiel, des tirs
sporadiques d'armes lourdes se faisaient entendre, après les détonations très
violentes qui avaient duré jusqu'à la mi-journée.
Quelques véhicules blindés de la Mission de l'ONU en Côte d'Ivoire (Onuci)
ont patrouillé durant l'après-midi dans le secteur, a-t-on constaté.
Il n'était pas possible dans l'immédiat d'expliquer cette accalmie et de
dire si le camp Gbagbo ou celui d'Alassane Ouattara, reconnu président par la
communauté internationale, s'était rendu maître du terrain.
vendredi après-midi à Abidjan dans les deux zones principales où de violents
combats opposaient depuis la veille les forces du président sortant Laurent
Gbagbo et d'Alassane Ouattara, ont indiqué des habitants et des journalistes
de l'AFP.
Dans le quartier de Cocody (nord), dans le périmètre de la résidence de M.
Gbagbo et de la télévision d'Etat RTI, "les tirs à l'arme lourde ont cessé
vers 15H00 (locales et GMT). Mais une trentaine de minutes plus tard il y
avait des tirs sporadiques à l'arme légère", a indiqué à l'AFP une résidente.
"Les combats ont cessé", a affirmé un autre habitant, évoquant seulement
des "rafales sporadiques".
Dans le quartier du Plateau, abritant le palais présidentiel, des tirs
sporadiques d'armes lourdes se faisaient entendre, après les détonations très
violentes qui avaient duré jusqu'à la mi-journée.
Quelques véhicules blindés de la Mission de l'ONU en Côte d'Ivoire (Onuci)
ont patrouillé durant l'après-midi dans le secteur, a-t-on constaté.
Il n'était pas possible dans l'immédiat d'expliquer cette accalmie et de
dire si le camp Gbagbo ou celui d'Alassane Ouattara, reconnu président par la
communauté internationale, s'était rendu maître du terrain.