WASHINGTON - Les Etats-Unis ont appelé vendredi "les forces de l`ONU et de la France" à agir afin de protéger les civils en Côte d`Ivoire, où Washington réclame le départ immédiat de Laurent Gbagbo.
Washington demande "aux forces de l`ONU et aux forces françaises de prendre
toutes les mesures possibles pour protéger les civils et empêcher tout pillage
de se produire", a déclaré Mark Toner, un porte-parole du département d`Etat.
La force française "Licorne" en Côte d`Ivoire compte environ 900 militaires
stationnés à Abidjan, et Paris vient d`annoncer qu`elle serait portée à 1.100
hommes.
Sa mission principale est de soutenir l`Opération des Nations unies en Côte
d`Ivoire (ONUCI) et, en temps de crise, d`assurer la sécurité des
ressortissants français et étrangers présents dans le pays.
Quelque 200 ressortissants français et d`autres nationalités ont rejoint
vendredi le camp militaire français de Port-Bouët, où près de 500 personnes
avaient déjà trouvé refuge la veille pour échapper aux violences à Abidjan.
Quant au président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, il doit "se retirer
immédiatement", a déclaré M. Toner. Les Etats-Unis rejoignent ainsi les appels
lancés plus tôt dans la journée par le chef de l`ONU Ban Ki-moon et par un
communiqué de l`Elysée.
Les tirs ont fortement baissé en intensité vendredi après-midi à Abidjan,
la capitale économique de la Côte d`Ivoire, dans les différentes zones de
combat.
Toujours vendredi, le camp de Laurent Gbagbo a affirmé avoir repoussé une
offensive des forces de son rival Alassane Ouattara sur le palais présidentiel
et la résidence de M. Gbagbo à Abidjan.
Aucune confirmation indépendante n`a pu être obtenue dans l`immédiat.
Washington demande "aux forces de l`ONU et aux forces françaises de prendre
toutes les mesures possibles pour protéger les civils et empêcher tout pillage
de se produire", a déclaré Mark Toner, un porte-parole du département d`Etat.
La force française "Licorne" en Côte d`Ivoire compte environ 900 militaires
stationnés à Abidjan, et Paris vient d`annoncer qu`elle serait portée à 1.100
hommes.
Sa mission principale est de soutenir l`Opération des Nations unies en Côte
d`Ivoire (ONUCI) et, en temps de crise, d`assurer la sécurité des
ressortissants français et étrangers présents dans le pays.
Quelque 200 ressortissants français et d`autres nationalités ont rejoint
vendredi le camp militaire français de Port-Bouët, où près de 500 personnes
avaient déjà trouvé refuge la veille pour échapper aux violences à Abidjan.
Quant au président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, il doit "se retirer
immédiatement", a déclaré M. Toner. Les Etats-Unis rejoignent ainsi les appels
lancés plus tôt dans la journée par le chef de l`ONU Ban Ki-moon et par un
communiqué de l`Elysée.
Les tirs ont fortement baissé en intensité vendredi après-midi à Abidjan,
la capitale économique de la Côte d`Ivoire, dans les différentes zones de
combat.
Toujours vendredi, le camp de Laurent Gbagbo a affirmé avoir repoussé une
offensive des forces de son rival Alassane Ouattara sur le palais présidentiel
et la résidence de M. Gbagbo à Abidjan.
Aucune confirmation indépendante n`a pu être obtenue dans l`immédiat.