WASHINGTON - Le sénateur américain John Kerry s`est dit inquiet lundi de la "violence croissante" en Côte d`Ivoire alors que l`ONU a frappé à Abidjan des forces fidèles au président sortant Laurent Gbagbo, accusées de s`en prendre aux populations civiles.
"Je suis profondément inquiet de la violence croissante en Côte d`Ivoire,
en particulier des récits d`atrocités dans la partie ouest du pays", a indiqué
l`influent sénateur qui préside la commission des Affaires étrangères.
Comme l`avait fait dimanche la chef de la diplomatie américaine Hillary
Clinton dans un communiqué, M. Kerry a affirmé lundi que "le temps est venu
pour Laurent Gbagbo de se retirer et de permettre la réunification, la
reconstruction et la réconciliation nécessaires à la stabilité de la Côte
d`Ivoire".
"Les Nations unies ne sont pas restées inertes devant les événements de
Côte d`Ivoire (...) mais elles doivent aussi faire plus pour honorer leur
mandat de protection des populations civiles", a ajouté M. Kerry.
Les forces de l`ONU et de la France ont frappé lundi à Abidjan les derniers
bastions du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, dont son palais et sa
résidence, le jour où les combattants du président élu, Alassane Ouattara,
engageaient une offensive pour en finir avec son régime.
Plus de quatre mois après le début d`une crise post-électorale qui a
dégénéré en quasi-guerre civile, les Nations unies et l`ex-puissance coloniale
française ont ciblé quatre sites qu`avaient échoué à prendre ces derniers
jours les forces d`Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté
internationale.
"Je suis profondément inquiet de la violence croissante en Côte d`Ivoire,
en particulier des récits d`atrocités dans la partie ouest du pays", a indiqué
l`influent sénateur qui préside la commission des Affaires étrangères.
Comme l`avait fait dimanche la chef de la diplomatie américaine Hillary
Clinton dans un communiqué, M. Kerry a affirmé lundi que "le temps est venu
pour Laurent Gbagbo de se retirer et de permettre la réunification, la
reconstruction et la réconciliation nécessaires à la stabilité de la Côte
d`Ivoire".
"Les Nations unies ne sont pas restées inertes devant les événements de
Côte d`Ivoire (...) mais elles doivent aussi faire plus pour honorer leur
mandat de protection des populations civiles", a ajouté M. Kerry.
Les forces de l`ONU et de la France ont frappé lundi à Abidjan les derniers
bastions du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, dont son palais et sa
résidence, le jour où les combattants du président élu, Alassane Ouattara,
engageaient une offensive pour en finir avec son régime.
Plus de quatre mois après le début d`une crise post-électorale qui a
dégénéré en quasi-guerre civile, les Nations unies et l`ex-puissance coloniale
française ont ciblé quatre sites qu`avaient échoué à prendre ces derniers
jours les forces d`Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté
internationale.