NAIROBI, L`Union Africaine (UA) a condamné mardi les
"abus" et les "violations des droits de l`Homme" commis en Côte d`Ivoire dans
"un contexte de conflit militaire", et a de nouveau appelé à "la protection
impérative de la population civile".
"Le Conseil déplore la perte de nombreuses vies, condamne la violation des
droits de l`Homme et d`autres abus dans le contexte d`un conflit militaire, et
a réitéré l`impératif de la protection des populations civiles", a indiqué un
communiqué de l`UA publié à l`issue d`une réunion à Addis Abeba.
L`ex-opposant au "père de la Nation" Félix Houphouët-Boigny, devenu
président en 2000 lors d`un scrutin déjà contesté, n`a jamais reconnu sa
défaite à la présidentielle du 28 novembre 2010, un vote pourtant certifié par
l`ONU. Il a toujours refusé d`abdiquer ou de partir en exil.
Mais la résistance acharnée de ses troupes à Abidjan, qui comptait avant la
crise environ 5 millions d`habitants, a plongé la ville dans le chaos.
Le Haut commissariat de l`ONU aux droits de l`homme a fait état de
"dizaines de morts" ces derniers jours dans des combats à l`arme lourde.
"La situation humanitaire s`est encore détériorée et est devenue absolument
dramatique à Abidjan", pour le Bureau de coordination des Affaires
humanitaires des Nations unies.
Le président des Etats-Unis Barack Obama a dit mardi sa "profonde
inquiétude" au sujet de massacres dans l`ouest du pays.
Le dirigeant américain n`a pas passé sous silence le massacre de civils
commis la semaine dernière dans l`ouest de la Côte d`Ivoire, attribué aux
partisans de M. Ouattara.
"Les Etats-Unis se joignent à la communauté internationale pour exprimer
leur profonde inquiétude au sujet d`informations sur des massacres dans
l`ouest du pays, et les dangers auxquels sont confrontés des civils, en
particulier les plus vulnérables", a prévenu M. Obama.
"Toutes les parties doivent faire preuve de retenue et respecter les droits
des Ivoiriens, et je salue la promesse du président Ouattara de faire rendre
des comptes à ceux qui ont attaqué des civils", a-t-il observé.
"abus" et les "violations des droits de l`Homme" commis en Côte d`Ivoire dans
"un contexte de conflit militaire", et a de nouveau appelé à "la protection
impérative de la population civile".
"Le Conseil déplore la perte de nombreuses vies, condamne la violation des
droits de l`Homme et d`autres abus dans le contexte d`un conflit militaire, et
a réitéré l`impératif de la protection des populations civiles", a indiqué un
communiqué de l`UA publié à l`issue d`une réunion à Addis Abeba.
L`ex-opposant au "père de la Nation" Félix Houphouët-Boigny, devenu
président en 2000 lors d`un scrutin déjà contesté, n`a jamais reconnu sa
défaite à la présidentielle du 28 novembre 2010, un vote pourtant certifié par
l`ONU. Il a toujours refusé d`abdiquer ou de partir en exil.
Mais la résistance acharnée de ses troupes à Abidjan, qui comptait avant la
crise environ 5 millions d`habitants, a plongé la ville dans le chaos.
Le Haut commissariat de l`ONU aux droits de l`homme a fait état de
"dizaines de morts" ces derniers jours dans des combats à l`arme lourde.
"La situation humanitaire s`est encore détériorée et est devenue absolument
dramatique à Abidjan", pour le Bureau de coordination des Affaires
humanitaires des Nations unies.
Le président des Etats-Unis Barack Obama a dit mardi sa "profonde
inquiétude" au sujet de massacres dans l`ouest du pays.
Le dirigeant américain n`a pas passé sous silence le massacre de civils
commis la semaine dernière dans l`ouest de la Côte d`Ivoire, attribué aux
partisans de M. Ouattara.
"Les Etats-Unis se joignent à la communauté internationale pour exprimer
leur profonde inquiétude au sujet d`informations sur des massacres dans
l`ouest du pays, et les dangers auxquels sont confrontés des civils, en
particulier les plus vulnérables", a prévenu M. Obama.
"Toutes les parties doivent faire preuve de retenue et respecter les droits
des Ivoiriens, et je salue la promesse du président Ouattara de faire rendre
des comptes à ceux qui ont attaqué des civils", a-t-il observé.