DAKAR, L'intervention de l'ONU en Côte d'Ivoire a
répondu à une demande de la Communauté économique des Etats d'frique de
l'ouest (Cédéao) pour protéger les populations civiles, a déclaré mardi le
ministre sénégalais des Affaires étrangères, Madické Niang.
"On peut considérer que l'ONU n'a fait que répondre à une demande de la
Cédéao qui avait demandé à l'Onuci (Opération des Nations unies en Côte
d'Ivoire) de s'impliquer plus pour la protection des civils en Côte d'Ivoire",
a dit Niang au cours d'une conférence de presse.
"Dans la résolution de la Cédéao (adoptée fin mars à Abuja), nous avons
demandé que l'ONU s'investisse pour la protection et la sécurité des
populations originaires (des 15 Etats membres de l'organisation régionale).
Nous avons demandé l'utilisation de la force au besoin", a rappelé le chef de
la diplomatie sénégalaise.
Les forces d'Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté
internationale, ont engagé "l'assaut final" lundi soir contre le régime de
Laurent Gbagbo, aidées par des frappes de l'ONU et de la force française
Licorne, contre les armes lourdes entreposées dans ses derniers bastions.
Dans une résolution adoptée le 30 mars à l'initiative de la France et du
Nigeria, le Conseil de sécurité de l'ONU avait apporté son "entier soutien" à
l'Onuci pour utiliser "toutes les mesures nécessaires" pour protéger les
civils et empêcher l'utilisation d'armes lourdes contre les population civiles.
répondu à une demande de la Communauté économique des Etats d'frique de
l'ouest (Cédéao) pour protéger les populations civiles, a déclaré mardi le
ministre sénégalais des Affaires étrangères, Madické Niang.
"On peut considérer que l'ONU n'a fait que répondre à une demande de la
Cédéao qui avait demandé à l'Onuci (Opération des Nations unies en Côte
d'Ivoire) de s'impliquer plus pour la protection des civils en Côte d'Ivoire",
a dit Niang au cours d'une conférence de presse.
"Dans la résolution de la Cédéao (adoptée fin mars à Abuja), nous avons
demandé que l'ONU s'investisse pour la protection et la sécurité des
populations originaires (des 15 Etats membres de l'organisation régionale).
Nous avons demandé l'utilisation de la force au besoin", a rappelé le chef de
la diplomatie sénégalaise.
Les forces d'Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté
internationale, ont engagé "l'assaut final" lundi soir contre le régime de
Laurent Gbagbo, aidées par des frappes de l'ONU et de la force française
Licorne, contre les armes lourdes entreposées dans ses derniers bastions.
Dans une résolution adoptée le 30 mars à l'initiative de la France et du
Nigeria, le Conseil de sécurité de l'ONU avait apporté son "entier soutien" à
l'Onuci pour utiliser "toutes les mesures nécessaires" pour protéger les
civils et empêcher l'utilisation d'armes lourdes contre les population civiles.