NEW YORK (Nations unies), Les Nations unies ont estimé
mardi à "plusieurs centaines" le nombre de personnes qui ont péri dans des
massacres la semaine dernière à Duékoué, dans l`ouest de la Côte d`Ivoire,
révélant dans le même temps l`existence d`un charnier contenant 200 corps.
La prise mardi dernier par les combattants favorables à Alassane Ouattara,
internationalement reconnu comme le nouveau président ivoirien, de Duékoué,
important carrefour de l`Ouest ivoirien, s`est accompagnée de massacres à
grande échelle.
"Il apparaît que plusieurs centaines de civils ont été tués dans au moins
deux incidents distincts et de nombreux autres pourraient avoir été tués lors
de combats entre les milices armées", a indiqué Martin Nesirky, porte-parole
des Nations unies.
Parallèlement, Valerie Amos, secrétaire générale adjointe de l`ONU chargée
des Affaires humanitaires, qui vient de quitter Duékoué, a expliqué que des
enquêteurs avaient découvert un charnier, selon des propos rapportés par sa
porte-parole, Stephanie Bunker.
Près de 200 cadavres auraient été retrouvés dans ce charnier et d`autres à
plusieurs endroits dans la ville, selon Mme Amos.
De son côté, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) estime qu`"au
moins 800 personnes" ont été tuées mardi 29 mars lors de "violences
intercommunautaires" à Duékoué.
Caritas avance le chiffre d`un millier de morts ou disparus.
Tout en annonçant la découverte de "nombreux charniers" samedi, le
gouvernement d`Alassane Ouattara a accusé les partisans du chef d`Etat sortant
Laurent Gbagbo d`en être responsables.
mardi à "plusieurs centaines" le nombre de personnes qui ont péri dans des
massacres la semaine dernière à Duékoué, dans l`ouest de la Côte d`Ivoire,
révélant dans le même temps l`existence d`un charnier contenant 200 corps.
La prise mardi dernier par les combattants favorables à Alassane Ouattara,
internationalement reconnu comme le nouveau président ivoirien, de Duékoué,
important carrefour de l`Ouest ivoirien, s`est accompagnée de massacres à
grande échelle.
"Il apparaît que plusieurs centaines de civils ont été tués dans au moins
deux incidents distincts et de nombreux autres pourraient avoir été tués lors
de combats entre les milices armées", a indiqué Martin Nesirky, porte-parole
des Nations unies.
Parallèlement, Valerie Amos, secrétaire générale adjointe de l`ONU chargée
des Affaires humanitaires, qui vient de quitter Duékoué, a expliqué que des
enquêteurs avaient découvert un charnier, selon des propos rapportés par sa
porte-parole, Stephanie Bunker.
Près de 200 cadavres auraient été retrouvés dans ce charnier et d`autres à
plusieurs endroits dans la ville, selon Mme Amos.
De son côté, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) estime qu`"au
moins 800 personnes" ont été tuées mardi 29 mars lors de "violences
intercommunautaires" à Duékoué.
Caritas avance le chiffre d`un millier de morts ou disparus.
Tout en annonçant la découverte de "nombreux charniers" samedi, le
gouvernement d`Alassane Ouattara a accusé les partisans du chef d`Etat sortant
Laurent Gbagbo d`en être responsables.