Le chef d`état-major des armées françaises, l`amiral Edouard Guillaud, a affirmé mercredi matin que le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo "n`a pas d`autre choix" que la reddition et le départ.
"Le président Gbagbo, pour l`instant, continue (...) à négocier et à
refuser d`abandonner le pouvoir", a-t-il déclaré sur Europe 1.
A la question "est-ce qu`il a un autre choix que la reddition et le départ
?", l`amiral Guillaud a répondu : "Non, à mon sens il n`a pas d`autre choix".
"Il est enfermé dans la résidence de la présidence de la république
ivoirienne et il ne reste en la possession de ses partisans que le site de la
présidence", a-t-il dit.
Selon l`amiral Guillaud, pour Laurent Gbagbo "l`exil est effectivement
probable".
Interrogé sur une possible reprise des frappes de l`Onuci, la mission des
Nations-Unies en Côte d`Ivoire, et de la force françaises Licorne contre les
positions des pro-Gbagbo, il a répondu : "Si l`Onu le demande, c`est possible".
Les négociations pour obtenir le départ de Laurent Gbagbo "ont continué
cette nuit, malheureusement pour l`instant je ne vois pas d`issue, je pense
malgré tout que c`est une question d`heures (...) Peut-être dans la journée",
a-t-il dit.
L`amiral Guillaud a indiqué par ailleurs que Laurent Gbagbo a été sur le
point de démissionner "deux fois, vendredi et avant-hier" lundi.
Le chef d`état-major a estimé que "la France n`est pas en guerre, en Côte
d`Ivoire évidemment non", en soulignant le "devoir de protection des
populations" dans le respect des résolutions de l`ONU.
"Le président Gbagbo, pour l`instant, continue (...) à négocier et à
refuser d`abandonner le pouvoir", a-t-il déclaré sur Europe 1.
A la question "est-ce qu`il a un autre choix que la reddition et le départ
?", l`amiral Guillaud a répondu : "Non, à mon sens il n`a pas d`autre choix".
"Il est enfermé dans la résidence de la présidence de la république
ivoirienne et il ne reste en la possession de ses partisans que le site de la
présidence", a-t-il dit.
Selon l`amiral Guillaud, pour Laurent Gbagbo "l`exil est effectivement
probable".
Interrogé sur une possible reprise des frappes de l`Onuci, la mission des
Nations-Unies en Côte d`Ivoire, et de la force françaises Licorne contre les
positions des pro-Gbagbo, il a répondu : "Si l`Onu le demande, c`est possible".
Les négociations pour obtenir le départ de Laurent Gbagbo "ont continué
cette nuit, malheureusement pour l`instant je ne vois pas d`issue, je pense
malgré tout que c`est une question d`heures (...) Peut-être dans la journée",
a-t-il dit.
L`amiral Guillaud a indiqué par ailleurs que Laurent Gbagbo a été sur le
point de démissionner "deux fois, vendredi et avant-hier" lundi.
Le chef d`état-major a estimé que "la France n`est pas en guerre, en Côte
d`Ivoire évidemment non", en soulignant le "devoir de protection des
populations" dans le respect des résolutions de l`ONU.