Laurent Gbagbo n’a pas l’intention d’abdiquer et il le montre sur tous les plans. Retranchés dans une cachette secrète avec des irréductibles de son camp, il tente de mener le bal.
Grâce au Comité International de la Croix Rouge (CICR) le monde entier a les yeux tournés vers Duékoué où l’organisation humanitaire a dénoncé dans un communiqué le massacre de 800 civils. Sur le terrain, soucieux d’en savoir davantage, le ministre Konaté Sidiki a eu une rencontre avec l’Onuci et le CICR. Aucune de ces organisations, à tout le moins, leurs bureaux à Man et Duékoué, ne se reconnaissent pas dans les chiffres publiés et condamnent l’utilisation abusive et tendancieuse y afférente. Hier, dimanche 3 avril, la Division des droits de l’homme de l’Onuci, basée à Daloa et présente à Duékoué a permis de savoir qu’il a été dénombré 152 personnes tuées de façon confondue.
A y voir de près, Laurent Gbagbo qui a estimé qu’il est mieux d’acheter des hommes de peu d’étoffe morale que d’acheter des armes se cache derrière ce complot macabre. L’ex-Chef de l’Etat bénéficie d’un réseau dormant dans des missions diplomatiques ou des organisations internationales. Laurent Gbagbo a réussi à détourner pendant quelques jours les regards sur Duékoué alors que les forces républicaines tentent de finir avec sa rébellion dans Abidjan. Ses soutiens voudraient montrer que leur ami est dans le vrai quand il prétend qu’il y aura une guerre civile s’il ne dirige pas ce pays.
A tout le moins ses soutiens mafieux voudraient démontrer que « Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, c’est bonnet blanc, blanc bonnet » et qu’il faudrait mieux laisser Laurent GBAGBO à la barre pour éviter « une guerre civile ». Pire et cynique, ils ont le macabre courage de mettre à l’actif du Président de la République et des forces républicaines, 800 tués en quelques heures de combat, là où les hommes de Laurent Gbagbo n’ont atteint ce chiffre en trois mois de massacres de civils après le 28 novembre 2010.
Grâce à sa promptitude, Konaté Sidiki a rétabli la vérité des faits. Nul ne veut aujourd’hui assumer les faux chiffres car le pot aux roses est découvert.
Grâce au Comité International de la Croix Rouge (CICR) le monde entier a les yeux tournés vers Duékoué où l’organisation humanitaire a dénoncé dans un communiqué le massacre de 800 civils. Sur le terrain, soucieux d’en savoir davantage, le ministre Konaté Sidiki a eu une rencontre avec l’Onuci et le CICR. Aucune de ces organisations, à tout le moins, leurs bureaux à Man et Duékoué, ne se reconnaissent pas dans les chiffres publiés et condamnent l’utilisation abusive et tendancieuse y afférente. Hier, dimanche 3 avril, la Division des droits de l’homme de l’Onuci, basée à Daloa et présente à Duékoué a permis de savoir qu’il a été dénombré 152 personnes tuées de façon confondue.
A y voir de près, Laurent Gbagbo qui a estimé qu’il est mieux d’acheter des hommes de peu d’étoffe morale que d’acheter des armes se cache derrière ce complot macabre. L’ex-Chef de l’Etat bénéficie d’un réseau dormant dans des missions diplomatiques ou des organisations internationales. Laurent Gbagbo a réussi à détourner pendant quelques jours les regards sur Duékoué alors que les forces républicaines tentent de finir avec sa rébellion dans Abidjan. Ses soutiens voudraient montrer que leur ami est dans le vrai quand il prétend qu’il y aura une guerre civile s’il ne dirige pas ce pays.
A tout le moins ses soutiens mafieux voudraient démontrer que « Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, c’est bonnet blanc, blanc bonnet » et qu’il faudrait mieux laisser Laurent GBAGBO à la barre pour éviter « une guerre civile ». Pire et cynique, ils ont le macabre courage de mettre à l’actif du Président de la République et des forces républicaines, 800 tués en quelques heures de combat, là où les hommes de Laurent Gbagbo n’ont atteint ce chiffre en trois mois de massacres de civils après le 28 novembre 2010.
Grâce à sa promptitude, Konaté Sidiki a rétabli la vérité des faits. Nul ne veut aujourd’hui assumer les faux chiffres car le pot aux roses est découvert.
