ABIDJAN - Les combattants d`Alassane Ouattara se sont repliés mercredi, quelques heures après avoir lancé l`assaut sur la résidence du chef d`Etat ivoirien sortant Laurent Gbagbo, qui refuse de se rendre, a rapporté à l`AFP un habitant.
"Il y a une pause dans les combats" entre irréductibles pro-Gbagbo et
forces pro-Ouattara, a dit à l`AFP dans l`après-midi ce résident, après
"plusieurs heures de tirs nourris à l`arme lourde".
"Les Forces républicaines (pro-Ouattara) sont arrivées jusqu`à 150 mètres
du portail (de la résidence de M. Gbagbo) mais ne sont pas entrées", a-t-il
poursuivi. Elles ont dû opérer un "retrait", a-t-il ajouté.
"L`offensive lancée par les troupes de Ouattara s`est heurtée à une très
forte résistance du dernier carré de fidèles à Gbagbo", a confirmé à l`AFP une
source gouvernementale française.
"Il y a encore des mortiers et des chars dans l`enceinte de la présidence,
l`offensive est suspendue pour quelques heures, manifestement", a-t-elle
indiqué.
Les forces pro-Ouattara avaient lancé dans la matinée l`assaut sur la
résidence de M. Gbagbo pour le sortir de son bunker et avaient aussi tenté de
prendre le palais présidentiel. Sur les deux sites, les tirs avaient cessé à
la mi-journée.
"Il y a une pause dans les combats" entre irréductibles pro-Gbagbo et
forces pro-Ouattara, a dit à l`AFP dans l`après-midi ce résident, après
"plusieurs heures de tirs nourris à l`arme lourde".
"Les Forces républicaines (pro-Ouattara) sont arrivées jusqu`à 150 mètres
du portail (de la résidence de M. Gbagbo) mais ne sont pas entrées", a-t-il
poursuivi. Elles ont dû opérer un "retrait", a-t-il ajouté.
"L`offensive lancée par les troupes de Ouattara s`est heurtée à une très
forte résistance du dernier carré de fidèles à Gbagbo", a confirmé à l`AFP une
source gouvernementale française.
"Il y a encore des mortiers et des chars dans l`enceinte de la présidence,
l`offensive est suspendue pour quelques heures, manifestement", a-t-elle
indiqué.
Les forces pro-Ouattara avaient lancé dans la matinée l`assaut sur la
résidence de M. Gbagbo pour le sortir de son bunker et avaient aussi tenté de
prendre le palais présidentiel. Sur les deux sites, les tirs avaient cessé à
la mi-journée.