La force française Licorne et des éléments armés défendant la résidence du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo ont échangé des tirs mercredi soir à Abidjan au cours de l`exfiltration réussie de l`ambassadeur du Japon, a annoncé l`ambassade de France dans un communiqué.
Cette opération est intervenue le jour où les forces d`Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté internationale, ont échoué à prendre d`assaut la résidence où est retranché M. Gbagbo, qui refuse de se rendre.
Face aux "tirs nourris des forces pro-Gbagbo, situées dans et autour de la résidence présidentielle" et "notamment dirigés" vers la résidence de l`ambassadeur de France, la force française a effectué des "tirs de riposte par hélicoptère", selon le communiqué lu à l`AFP.
A la demande du Japon et de l`ONU, la force Licorne était "intervenue ce soir pour exfiltrer l`ambassadeur et ses collaborateurs de la résidence du Japon", sur les toits de laquelle "des miliciens pro-Gbagbo avaient installé des armes lourdes", indique l`ambassade.
L`ambassadeur japonais Yoshifumi Okamura et ses collaborateurs "sont désormais sains et saufs et en sécurité au camp (militaire français) de Port-Bouët", dans le sud d`Abidjan, ajoute-t-elle.
Cette opération est intervenue le jour où les forces d`Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté internationale, ont échoué à prendre d`assaut la résidence où est retranché M. Gbagbo, qui refuse de se rendre.
Face aux "tirs nourris des forces pro-Gbagbo, situées dans et autour de la résidence présidentielle" et "notamment dirigés" vers la résidence de l`ambassadeur de France, la force française a effectué des "tirs de riposte par hélicoptère", selon le communiqué lu à l`AFP.
A la demande du Japon et de l`ONU, la force Licorne était "intervenue ce soir pour exfiltrer l`ambassadeur et ses collaborateurs de la résidence du Japon", sur les toits de laquelle "des miliciens pro-Gbagbo avaient installé des armes lourdes", indique l`ambassade.
L`ambassadeur japonais Yoshifumi Okamura et ses collaborateurs "sont désormais sains et saufs et en sécurité au camp (militaire français) de Port-Bouët", dans le sud d`Abidjan, ajoute-t-elle.