PARIS - Le chef de la diplomatie française, Alain Juppé, a affirmé jeudi que la chute du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo interviendrait "inéluctablement", sans se risquer à dire si ce serait une question de jours.
"Après la chute de Gbagbo qui interviendra inéluctablement, il faudra
appuyer la politique de pardon, de réconciliation natinale, d'ouverture
politique que devra conduire le président (Alassane) Ouattara", a déclaré
Alain Juppé, lors d'une audition devant des sénateurs.
"De ce point de vue, nous sommes en liaison très étroite avec lui et il est
parfaitement dans cet esprit. Il fera bientôt, je pense, des déclarations en
ce sens et nous sommes déjà en train de travailler sur l'effort qu'il faudra
faire pour l'aider dans ce processus de réconciliation politique et de
reconstruction économique", a-t-il ajouté.
La chute de Gbagbo "interviendra inévitablement dans... je ne vais pas dire
les heures ou les jours qui viennent, je suis prudent", a-t-il ajouté.
Mardi, Alain Juppé avait indiqué que la France était "à deux doigts"
d'obtenir une reddition du président sortant.
Le ministre a aussi dit que la résidence française à Abidjan avait fait
l'objet au cours des derniers jours "d'attaques répétées".
"Après la chute de Gbagbo qui interviendra inéluctablement, il faudra
appuyer la politique de pardon, de réconciliation natinale, d'ouverture
politique que devra conduire le président (Alassane) Ouattara", a déclaré
Alain Juppé, lors d'une audition devant des sénateurs.
"De ce point de vue, nous sommes en liaison très étroite avec lui et il est
parfaitement dans cet esprit. Il fera bientôt, je pense, des déclarations en
ce sens et nous sommes déjà en train de travailler sur l'effort qu'il faudra
faire pour l'aider dans ce processus de réconciliation politique et de
reconstruction économique", a-t-il ajouté.
La chute de Gbagbo "interviendra inévitablement dans... je ne vais pas dire
les heures ou les jours qui viennent, je suis prudent", a-t-il ajouté.
Mardi, Alain Juppé avait indiqué que la France était "à deux doigts"
d'obtenir une reddition du président sortant.
Le ministre a aussi dit que la résidence française à Abidjan avait fait
l'objet au cours des derniers jours "d'attaques répétées".