Le président ivoirien sortant
Laurent Gbagbo sera arrêté vivant et jugé, a affirmé jeudi l`ambassadeur de la
Côte d`Ivoire à l`ONU, Youssouf Bamba.
"Tôt ou tard, il sera arrêté et présenté à la justice", a déclaré Youssouf
Bamba lors d`une conférence de presse. L`ambassadeur a insisté sur le fait
qu`Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté internationale,
voulait que son rival soit capturé en vie.
"Trop de sang a été versé. Nous n`offrirons pas à M. Gbagbo le luxe d`être
un martyr. Il sera arrêté vivant et répondra devant la justice pour les crimes
qu`il a commis", a déclaré le diplomate.
Ce dernier a déclaré qu`il n`y aurait plus de négociations avec M. Gbagbo.
"Aujourd`hui, la partie est terminée. Au cours des quatre derniers mois nous
avons essayé toutes les voies de la médiation. Il veut seulement gagner du
temps", a-t-il insisté.
Laurent Gbagbo restait jeudi retranché dans son bunker à Abidjan, où la
situation sécuritaire se dégrade très rapidement, alors que le secrétaire
général de l`ONU Ban Ki-moon l`exhortait à "céder le pouvoir" avant qu`il ne
soit "trop tard".
Laurent Gbagbo sera arrêté vivant et jugé, a affirmé jeudi l`ambassadeur de la
Côte d`Ivoire à l`ONU, Youssouf Bamba.
"Tôt ou tard, il sera arrêté et présenté à la justice", a déclaré Youssouf
Bamba lors d`une conférence de presse. L`ambassadeur a insisté sur le fait
qu`Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté internationale,
voulait que son rival soit capturé en vie.
"Trop de sang a été versé. Nous n`offrirons pas à M. Gbagbo le luxe d`être
un martyr. Il sera arrêté vivant et répondra devant la justice pour les crimes
qu`il a commis", a déclaré le diplomate.
Ce dernier a déclaré qu`il n`y aurait plus de négociations avec M. Gbagbo.
"Aujourd`hui, la partie est terminée. Au cours des quatre derniers mois nous
avons essayé toutes les voies de la médiation. Il veut seulement gagner du
temps", a-t-il insisté.
Laurent Gbagbo restait jeudi retranché dans son bunker à Abidjan, où la
situation sécuritaire se dégrade très rapidement, alors que le secrétaire
général de l`ONU Ban Ki-moon l`exhortait à "céder le pouvoir" avant qu`il ne
soit "trop tard".