Le calme régnait samedi matin à Abidjan, notamment dans les quartiers de Cocody, autour de la résidence présidentielle du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, et du Plateau, siège du palais présidentiel, ont indiqué des habitants.
"La matinée est calme", a indiqué à l`AFP un résident de Cocody en ajoutant
cependant: "les combats reprendront peut-être cet après-midi" dans ce quartier
du nord de la capitale économique ivoirienne où se trouvent la résidence
présidentielle où est retranché Laurent Gbagbo, le siège de la télévision
ivoirienne (RTI) et l`école de gendarmerie.
Selon un habitant du quartier du Plateau, dans le centre d`Abidjan où se
trouve le siège du palais présidentiel tenu également par les troupes fidèles
à Laurent Gbagbo, "il n`y a pas eu de tirs ce matin. On voit les gens sortir
des immeubles pour aller vers Marcory", un quartier du sud de la ville plus
sécurisé. "Ils étaient coincés, ils cherchent maintenant à quitter le Plateau
après avoir attendu que la situation se calme dans la durée".
Si une accalmie dans les combats a été constatée vendredi dans ce quartier,
cet habitant a dit avoir vu "hier (vendredi) des éléments de la garde
républicaine et un unité d`élite du président sortant" dans les rues du
Plateau.
De violents combats ont eu lieu durant toute la semaine dans ce quartier,
contraignant les habitants à se terrer chez eux.
Vendredi, en milieu d`après-midi et en début de soirée, des combats à la
mitrailleuse lourde et à l`arme légère ont fait rage dans le périmètre qui
englobe la résidence de M. Gbagbo, la RTI et l`école de gendarmerie, avaient
rapporté un journaliste de l`AFP et un habitant.
Laurent Gbagbo, toujours retranché dans sa résidence d`Abidjan défendue par
des centaines d`hommes, n`a pas cédé un pouce de terrain vendredi, tandis que
l`ONU qualifiait de "terrifiantes" les informations sur la situation dans
l`ouest du pays marquée par des massacres.
Après avoir lancé jeudi un appel solennel à l`unité, Alassane Ouattara, le
président internationalement reconnu, est confronté, après l`offensive éclair
de ses troupes jusqu`à la capitale, à l`immense défi de rétablir la sécurité.
"La matinée est calme", a indiqué à l`AFP un résident de Cocody en ajoutant
cependant: "les combats reprendront peut-être cet après-midi" dans ce quartier
du nord de la capitale économique ivoirienne où se trouvent la résidence
présidentielle où est retranché Laurent Gbagbo, le siège de la télévision
ivoirienne (RTI) et l`école de gendarmerie.
Selon un habitant du quartier du Plateau, dans le centre d`Abidjan où se
trouve le siège du palais présidentiel tenu également par les troupes fidèles
à Laurent Gbagbo, "il n`y a pas eu de tirs ce matin. On voit les gens sortir
des immeubles pour aller vers Marcory", un quartier du sud de la ville plus
sécurisé. "Ils étaient coincés, ils cherchent maintenant à quitter le Plateau
après avoir attendu que la situation se calme dans la durée".
Si une accalmie dans les combats a été constatée vendredi dans ce quartier,
cet habitant a dit avoir vu "hier (vendredi) des éléments de la garde
républicaine et un unité d`élite du président sortant" dans les rues du
Plateau.
De violents combats ont eu lieu durant toute la semaine dans ce quartier,
contraignant les habitants à se terrer chez eux.
Vendredi, en milieu d`après-midi et en début de soirée, des combats à la
mitrailleuse lourde et à l`arme légère ont fait rage dans le périmètre qui
englobe la résidence de M. Gbagbo, la RTI et l`école de gendarmerie, avaient
rapporté un journaliste de l`AFP et un habitant.
Laurent Gbagbo, toujours retranché dans sa résidence d`Abidjan défendue par
des centaines d`hommes, n`a pas cédé un pouce de terrain vendredi, tandis que
l`ONU qualifiait de "terrifiantes" les informations sur la situation dans
l`ouest du pays marquée par des massacres.
Après avoir lancé jeudi un appel solennel à l`unité, Alassane Ouattara, le
président internationalement reconnu, est confronté, après l`offensive éclair
de ses troupes jusqu`à la capitale, à l`immense défi de rétablir la sécurité.