NOUAKCHOTT - La Mauritanie a rapatrié par bus plus de 4.000 de ses ressortissants en Côte d'Ivoire et cherche à évacuer par voie aérienne 450 autres bloqués dans son ambassade à Abidjan, a annoncé samedi le ministère mauritanien des Affaires étrangères.
L'évacuation par bus, organisée depuis mars, s'est déroulée "dans
d'excellentes conditions" via le Mali notamment. Mais, "suite à la dégradation
de la situation sécuritaire" en Côte d'Ivoire, "l'opération de rapatriement
s'est arrêtée et 450 personnes sont restées dans les locaux de notre ambassade
à Abidjan", affirme le ministère dans un communiqué.
Le gouvernement mauritanien, qui suit "continuellement la situation de la
communauté mauritanienne établie en Côte d'Ivoire depuis le déclenchement de
la crise dans ce pays", est "en contact avec les autorités concernées en Côte
d'Ivoire" pour permettre leur rapatriement, ajoute-t-il.
"Des appareils de (la compagnie aérienne) Mauritania Airlines peuvent à
tout moment décoller vers Abidjan pour les transporter", conclut-il.
Le nombre de Mauritaniens établis en Côte d'Ivoire n'est pas officiellement
connu mais on estime qu'ils sont plusieurs dizaines de milliers à travers tout
le pays.
L'évacuation par bus, organisée depuis mars, s'est déroulée "dans
d'excellentes conditions" via le Mali notamment. Mais, "suite à la dégradation
de la situation sécuritaire" en Côte d'Ivoire, "l'opération de rapatriement
s'est arrêtée et 450 personnes sont restées dans les locaux de notre ambassade
à Abidjan", affirme le ministère dans un communiqué.
Le gouvernement mauritanien, qui suit "continuellement la situation de la
communauté mauritanienne établie en Côte d'Ivoire depuis le déclenchement de
la crise dans ce pays", est "en contact avec les autorités concernées en Côte
d'Ivoire" pour permettre leur rapatriement, ajoute-t-il.
"Des appareils de (la compagnie aérienne) Mauritania Airlines peuvent à
tout moment décoller vers Abidjan pour les transporter", conclut-il.
Le nombre de Mauritaniens établis en Côte d'Ivoire n'est pas officiellement
connu mais on estime qu'ils sont plusieurs dizaines de milliers à travers tout
le pays.