Le camp du président sortant ivoirien Laurent Gbagbo a démenti avoir attaqué samedi le Golf Hôtel d`Abidjan, QG du président reconnu internationalement Alassane Ouattara, et M. Gbagbo a appelé les Ivoiriens à la résistance contre l`armée française.
Dans la soirée, des témoins avaient fait état de tirs sur le Golf Hôtel. La mission de l`ONU en Côte d`Ivoire (Onuci), dont les Casques bleus protègent l`établissement, avait ensuite annoncé avoir riposté à une attaque menée contre l`hôtel par des forces loyales à M. Gbagbo.
"C`est absolument faux. Il n`y a pas eu d`attaque du Golf" par les forces pro-Gbagbo, c`est "une attaque imaginaire", a déclaré à l`AFP Ahoua Don Mello, porte-parole du gouvernement de Laurent Gbagbo.
"C`est un coup inventé, il n`y a pas eu de tirs venus de la résidence du président Gbagbo sur le Golf, il y a eu des affrontements localisés à la Riviera II et III (dans le même quartier de Cocody, dans le nord d`Abidjan), loin du Golf", a affirmé le porte-parole.
Les accusations de l`Onuci sur une attaque du Golf Hôtel prouvent "le parti pris de l`Onuci, qui, dans sa connivence avec (la force française) Licorne, prépare sûrement une autre attaque" des positions de M. Gbagbo, a ajouté Ahoua Don Mello.
Et le porte-parole a rendu public un appel de Laurent Gbagbo à la mobilisation et à la résistance contre les troupes françaises.
"Le président Gbagbo appelle à la résistance contre les bombardements et les agissements de l`armée française en Côte d`Ivoire, car en définitive c`est l`armée française qui nous attaque", a dit Ahoua Don Mello.
"Le président Gbagbo appelle le peuple à la résistance pour faire barrage à ce énième coup de force", a-t-il ajouté.
"Nos troupes sont en train de se reconstituer après avoir subi une attaque barbare des rebelles appuyés par l`ONU et Licorne", a-t-il dit.
Le 4 avril, quelques jours après l`arrivée sur Abidjan des forces d`Alassane Ouattara venues du nord de la Côte d`Ivoire, l`Onuci et la force française Licorne avaient mené avec des hélicoptères de combat d`intenses bombardements dans la capitale contre des camps militaires, des détachements de blindés et des armes lourdes des forces loyales à Laurent Gbagbo.
Dans la soirée, des témoins avaient fait état de tirs sur le Golf Hôtel. La mission de l`ONU en Côte d`Ivoire (Onuci), dont les Casques bleus protègent l`établissement, avait ensuite annoncé avoir riposté à une attaque menée contre l`hôtel par des forces loyales à M. Gbagbo.
"C`est absolument faux. Il n`y a pas eu d`attaque du Golf" par les forces pro-Gbagbo, c`est "une attaque imaginaire", a déclaré à l`AFP Ahoua Don Mello, porte-parole du gouvernement de Laurent Gbagbo.
"C`est un coup inventé, il n`y a pas eu de tirs venus de la résidence du président Gbagbo sur le Golf, il y a eu des affrontements localisés à la Riviera II et III (dans le même quartier de Cocody, dans le nord d`Abidjan), loin du Golf", a affirmé le porte-parole.
Les accusations de l`Onuci sur une attaque du Golf Hôtel prouvent "le parti pris de l`Onuci, qui, dans sa connivence avec (la force française) Licorne, prépare sûrement une autre attaque" des positions de M. Gbagbo, a ajouté Ahoua Don Mello.
Et le porte-parole a rendu public un appel de Laurent Gbagbo à la mobilisation et à la résistance contre les troupes françaises.
"Le président Gbagbo appelle à la résistance contre les bombardements et les agissements de l`armée française en Côte d`Ivoire, car en définitive c`est l`armée française qui nous attaque", a dit Ahoua Don Mello.
"Le président Gbagbo appelle le peuple à la résistance pour faire barrage à ce énième coup de force", a-t-il ajouté.
"Nos troupes sont en train de se reconstituer après avoir subi une attaque barbare des rebelles appuyés par l`ONU et Licorne", a-t-il dit.
Le 4 avril, quelques jours après l`arrivée sur Abidjan des forces d`Alassane Ouattara venues du nord de la Côte d`Ivoire, l`Onuci et la force française Licorne avaient mené avec des hélicoptères de combat d`intenses bombardements dans la capitale contre des camps militaires, des détachements de blindés et des armes lourdes des forces loyales à Laurent Gbagbo.