La France n`a "pas d`autre objectif" que d"assassiner" le président sortant Laurent Gbagbo, a affirmé dimanche à l`AFP le porte-parole du gouvernement Gbagbo, Ahoua Don Mello, dénonçant les tirs de la force française Licorne "sur la résidence du chef de l`Etat".
"On a assisté à des tirs d`hélicoptères sur la résidence du chef de l`Etat. On a vu de la fumée se dégager mais pour l`instant on n`a pas d`idées sur les dégâts", a ajouté le porte-parole.
"La France cherchait des prétextes pour réattaquer, elle en a rassemblé", a-t-il poursuivi en référence notamment à l`attaque samedi sur le QG du président reconnu par la communauté internationale Alassane Ouattara, démentie par le camp Gbagbo.
Pour la France "il n`y a pas d`autre objectif" que d`"assassiner le chef de l`Etat tout le reste n`est que prétexte", a-t-il dit.
"Tout le monde a demandé que les tirs s`arrêtent" depuis les premières frappes lundi soir mais "il fallait que les Français trouvent des arguments pour attaquer", a ajouté le porte-parole.
"On a assisté à des tirs d`hélicoptères sur la résidence du chef de l`Etat. On a vu de la fumée se dégager mais pour l`instant on n`a pas d`idées sur les dégâts", a ajouté le porte-parole.
"La France cherchait des prétextes pour réattaquer, elle en a rassemblé", a-t-il poursuivi en référence notamment à l`attaque samedi sur le QG du président reconnu par la communauté internationale Alassane Ouattara, démentie par le camp Gbagbo.
Pour la France "il n`y a pas d`autre objectif" que d`"assassiner le chef de l`Etat tout le reste n`est que prétexte", a-t-il dit.
"Tout le monde a demandé que les tirs s`arrêtent" depuis les premières frappes lundi soir mais "il fallait que les Français trouvent des arguments pour attaquer", a ajouté le porte-parole.