Les rebelles et autres mercenaires que Ouattara et la France ont abusivement baptisés Forces républicaines en lieu et place de forces nouvelles se livrent à l’heure où nous écrivons ces lignes à des viols, des vols, des exécutions sommaires et des violences ignobles sur des populations civiles.
L’état de terreur installé par les rebelles et mercenaires d’Alassane Ouattata sur l’ensemble du territoire national, s’est amplifié depuis l’arrestation du Président de la République Laurent Gbagbo par l’armée française. Force Licorne qui, de façon injuste, a bombardé sa résidence qu’elle a entièrement détruite, sous le fallacieux prétexte de rechercher des armes lourdes. En effet, ordre a été donné à ses soldats de traumatiser à souhait les populations des communes et quartiers censés être acquis à la cause du Président Gbagbo. Ainsi les domiciles des personnalités proches de celui-ci, des personnes soupçonnées d’être des jeunes patriotes sont systématiquement ciblés. Il en est de même pour les entreprises appartenant aux opérateurs économiques que Ouattara a décidé de fermer. Les personnes trouvées sur place lors de ces expéditions punitives ont été éventrées, tuées pour que cela serve de leçon aux autres. Actuellement les rebelles de Ouattara visitent les domiciles dans des sites qu’ils ont répertoriés, à la recherche de personnes appartenant au camp du Président Gbagbo afin de les torturer avant de les tuer. Tous ceux qui sont trouvés en possession d’un objet à l’effigie de Laurent Gbagbo, n’ont aucune chance de s’échapper. Il y a des quartiers où les populations ont fui les exactions des hommes de Ouattara, les habitations sont mises à sac. A Abidjan, il ne fait pas bon d’être d’une ethnie censée être proche de Laurent Gbagbo. Les victimes des exécutions sommaires de ces hommes se comptent par milliers. En outres, après avoir pillé des magasins où ils sont passés, les rebelles se livrent à des razzias dans les rares marchés qui continuent d’être approvisionnés. Des centaines de cas ont été évoqués par les populations. Aux barrages tenus par forces républicaines, des personnes sont contrôlées et arrêtées par déni de patronyme. Les femmes et les jeunes filles sont enlevées et violées. Dans la foulée, instruction a été donnée aux rebelles de tuer tous les journalistes et agents des journaux proches de Laurent Gbagbo.
Yves Sésame.
L’état de terreur installé par les rebelles et mercenaires d’Alassane Ouattata sur l’ensemble du territoire national, s’est amplifié depuis l’arrestation du Président de la République Laurent Gbagbo par l’armée française. Force Licorne qui, de façon injuste, a bombardé sa résidence qu’elle a entièrement détruite, sous le fallacieux prétexte de rechercher des armes lourdes. En effet, ordre a été donné à ses soldats de traumatiser à souhait les populations des communes et quartiers censés être acquis à la cause du Président Gbagbo. Ainsi les domiciles des personnalités proches de celui-ci, des personnes soupçonnées d’être des jeunes patriotes sont systématiquement ciblés. Il en est de même pour les entreprises appartenant aux opérateurs économiques que Ouattara a décidé de fermer. Les personnes trouvées sur place lors de ces expéditions punitives ont été éventrées, tuées pour que cela serve de leçon aux autres. Actuellement les rebelles de Ouattara visitent les domiciles dans des sites qu’ils ont répertoriés, à la recherche de personnes appartenant au camp du Président Gbagbo afin de les torturer avant de les tuer. Tous ceux qui sont trouvés en possession d’un objet à l’effigie de Laurent Gbagbo, n’ont aucune chance de s’échapper. Il y a des quartiers où les populations ont fui les exactions des hommes de Ouattara, les habitations sont mises à sac. A Abidjan, il ne fait pas bon d’être d’une ethnie censée être proche de Laurent Gbagbo. Les victimes des exécutions sommaires de ces hommes se comptent par milliers. En outres, après avoir pillé des magasins où ils sont passés, les rebelles se livrent à des razzias dans les rares marchés qui continuent d’être approvisionnés. Des centaines de cas ont été évoqués par les populations. Aux barrages tenus par forces républicaines, des personnes sont contrôlées et arrêtées par déni de patronyme. Les femmes et les jeunes filles sont enlevées et violées. Dans la foulée, instruction a été donnée aux rebelles de tuer tous les journalistes et agents des journaux proches de Laurent Gbagbo.
Yves Sésame.
