Lors d’une intervention à Genève (Suisse), la Haut Commissaire aux droits de l’homme à exprimer son avis sur la situation en Côte d’Ivoire. Navi Pillay, a déclaré que son agence avait craint que les enquêtes sur les violations des droits de l’homme en Côte d’Ivoire soient restreintes à une période donnée (période post électorale). Elle a affirmé que le Haut Commissariat maintenait sa position sur le fait « que toutes les atrocités passées doivent être prises en compte quel que soit l’auteur, un camp ou un autre. »
S’agissant de la publication du Rapport de 2004 sur la violation des droits de l’homme en Côte d’Ivoire, Navi Pillay a souligné que les faits mentionnés à l’époque « se poursuivent » et qu’ainsi « il est tout à fait pertinent que le Rapport de 2004 soit rendu public. » Elle a ajouté qu’elle s’employait actuellement « à trouver qui est autorisé à la publication de ce rapport que ce soit le Conseil des droits de l’homme ou le Secrétaire Général de l`ONU. » Elle a martelé qu’elle « ne renoncerait pas à cette action. »
Catherine Fiankan-Bokonga.
Catherine Fiankan-Bokonga
Journaliste,
Accréditée au Palais des Nations Unies
Salle de Presse 1
1211 Genève 10; Suisse
S’agissant de la publication du Rapport de 2004 sur la violation des droits de l’homme en Côte d’Ivoire, Navi Pillay a souligné que les faits mentionnés à l’époque « se poursuivent » et qu’ainsi « il est tout à fait pertinent que le Rapport de 2004 soit rendu public. » Elle a ajouté qu’elle s’employait actuellement « à trouver qui est autorisé à la publication de ce rapport que ce soit le Conseil des droits de l’homme ou le Secrétaire Général de l`ONU. » Elle a martelé qu’elle « ne renoncerait pas à cette action. »
Catherine Fiankan-Bokonga.
Catherine Fiankan-Bokonga
Journaliste,
Accréditée au Palais des Nations Unies
Salle de Presse 1
1211 Genève 10; Suisse