Madame le ministre de la salubrité urbaine a anime ce jour, jeudi 11 aout 2011, une conference de presse pour faire le bilan a mi-parcours de l`operation "Pays propre". Nous vous proposons son propos liminaire.
Chers amis de la presse,
Je suis heureuse de vous recevoir dans les locaux du Ministère de la Salubrité Urbaine pour faire avec vous le point de « SPECIAL FETE DE L’INDEPENDANCE 2011/ OPERATION PAYS PROPRE », NOTAMMENT DU PROGRAMME DE DEGUERPISSEMENT EN COURS SUR LES GRANDES ARTERES DU DSITRICT D’ABIDJAN.
Je salue votre sens de la responsabilité dans le cadre des nouveaux défis qui attendent notre beau pays, la Côte d’Ivoire.
Je salue votre engagement pour informer juste et bien les populations.
Chers ami (es),
L’opération de déguerpissement en cours dans le District d’Abidjan fait partie du « Spécial Fête de l’Indépendance 2011/ Opération Pays propre » lancée le 8 juillet et qui prend fin le 30 décembre 2011. C’est une opération du Gouvernement de Côte d’Ivoire, endossée par le Chef de l’Etat qui, dans son discours à la Nation du 7 aout, est revenu sur la portée de cette action qui n’est pas dirigée contre les populations. Bien au contraire, Cette opération permettra de leur créer un cadre de vie propre, sain et agréable.
Pour la petite histoire, il y a quelques décennies, les célébrations de la Fête l’indépendance de notre beau pays étaient vécues comme de véritables fêtes populaires. Nos villes comme les populations, se paraient de leurs plus beaux habits. Les bâtiments publics et privés étaient repeints ; les jardins étaient bien tondus, les arbres badigeonnés à la chaux, les rues bien nettoyées, les ordures ramassées nuitamment, moins de constructions anarchiques…C’était la période de référence.
Aujourd’hui, cette ferveur a disparu. Elle a fait place à l’incivisme que nous déplorons tous. Notre cadre de vie est sale. Nos rues sont jonchées de baraques, d’étals sauvages, de commerçants à la sauvette qui, au mépris de tout, salissent les rues.
Les populations construisent sur les servitudes publiques, bouchant les voies de canalisation. Quand il pleut, la ville enregistre des drames. Des familles sont endeuillées. Le pays est privé de bras valides.
Les mairies, elles, ont du mal à faire le curage des caniveaux. Les commerçants de véhicules d’occasion, les transporteurs, les artisans ont transformé nos rues en de vastes marchés à ciel ouvert. Ces marchés sont plutôt des dépotoirs qui nuisent à la santé des populations. Nos grands boulevards qui faisaient la fierté de la Ville d’Abidjan, capitale économique du pays, ont perdu de leur superbe. Certaines de nos rues, pour ne pas les nommer, sont devenues des lieux mondialement connus de prostitution OU DE TOURISME SEXUEL présenté hélas comme un patrimoine culturel et historique. Le taux de prévalence du VIH/SIDA y est très élevé selon les chiffres des experts.
On y mange, on y boit dans les ordures. Les populations sont victimes des nuisances sonores des bars et maquis.
Devons-nous croiser les bras face à notre cadre de vie qui se dégrade de jour en jour du fait de l’incivisme de quelques-uns ? Devons-nous permettre l’anarchie au motif que cette situation de désordre donne à manger à certains ? Devons-nous mettre en péril la santé et la sécurité des populations parce que « on ne sait pas où aller » ou « parce qu’on a faim » ? Devons-nous vivre dans la saleté parce qu’on est pauvre ?
NON ! JE NON ET NON !!!
Aujourd’hui, Les populations sont menacées par le choléra, le paludisme, la fièvre typhoïde. Pourquoi ne pas revenir aux vieilles bonnes recettes qui marchent ?
L’Etat a un devoir de protection civile. L’Etat de Côte d’Ivoire a l’obligation de créer les conditions de sécurité et de santé en offrant d’abord aux ivoiriens un cadre de vie agréable, propre et sain.
Nous sommes dans une ère où l’Etat pourrait être attaqué en justice parce qu’il a failli. L’Etat ne veut pas faillir. L’Etat incarne l’Autorité dans toute sa plénitude. L’Etat veut DONC offrir un CADRE DE VIE SAIN aux populations. C’est son devoir, c’est aussi le Droit des populations de l’exiger !
Vous l’avez compris, dans son programme de gouvernement, le Président de la République a décidé de traiter la salubrité urbaine au même titre que la santé, l’éducation, la sécurité…Il affiche une volonté politique qui nous commande d’agir et vite. L’Etat et les populations doivent se donner la main pour réussir ce challenge.
C’est pourquoi, nous avons lancé l’opération de déguerpissement le 29 juillet conformément à L’ARRETE N°002 MVSU/CAB DU 16 JANVIER 2008 PORTANT SUR LA PROPRETE DES VOIES PUBLIQUES ET DE LEURS EMPRISES. Ce programme ne concerne pour le moment que les voies principales sur le District d’Abidjan. Progressivement, elle s’étendra à tous les quartiers, au reste du pays.
Pour l’heure, les installations anarchiques sur le VGE et sur la Route de l’aéroport ont été détruites. Les commerçants à la gare de Grand-Bassam ont été déguerpis du domaine public. Les boulevards Marseille, Latrille, France, La Rue Princesse ont été également visités et dégagés après information et sensibilisation des populations.
Nous avons fait des COMMUNIQUES A LA TELEVISION ET A LA RADIO nationale pour informer les populations de cette opération. Outre les communiqués de presse diffusés largement dans vos journaux, des EQUIPES ECLAIREUSES ont distribué, au moins deux jours avant, dans chacune des rues visitées, les communiqués signés de ma main.
Cette opération est IRREVERSIBLE. En effet, c’est à l’Etat d’inculquer aux citoyens la notion du maintien du bien public dans un état de propreté absolue.
Nous allons nous donner les moyens de suivi et de contrôle et demander aux maires de mettre en valeur les espaces déguerpis. Ils peuvent les transformer en jardins et parcs. Nous allons les aider dans cette voie.
Pour rendre le PAYS PROPRE, nous avons besoin de renforcer la propreté sur les voies principales. Nous avons besoin que les populations (commerçants, transporteurs, vendeurs à la sauvette) et les ménages, participent à cette gestion de la salubrité urbaine à travers un comportement civique. LE COMMERCE DOIT SE FAIRE DANS LES NORMES ET NON DANS L’ANARCHIE. L’ETAT A TRAVERS LES MAIRIES EST PRET A ACCOMPAGNER CE MOUVEMENT IRREVERSIBLE.
Dans notre société marquée par L’HYPER CONSOMMATION, le cadre de vie et la santé des populations doivent être prises en compte.
L’ENVIRONNEMENT INFLUENCE DIRECTEMENT LA PRODUCTION ECONOMIQUE ET LE NIVEAU DE CONSOMMATION DES MENAGES. Un homme en bonne santé mentale et physique est plus enclin à produire et à consommer.
Un homme dans un environnement sain est plus productif que celui qui vit dans les ordures et déchets. Si un travailleur doit s’acheter des médicaments pour soigner tous les jours son paludisme ou son choléra provoqués par l’insalubrité, il ne peut pas avoir un rendement de production élevé !!! Il devient improductif.
C’est pourquoi, au-delà de la grogne de populations déguerpies, ce que je comprends, j’invite LES MEDIAS et TOUTE LA POPULATION IVOIRIENNE à apprécier non seulement la portée civique de cette opération, mais aussi sa portée sociale et économique.
L’ETAT N’EST PAS CONTRE SES POPULATIONS. L’ETAT N’EST PAS CONTRE LES TRANSPORTEURS ET LES COMMERÇANTS. L’ETAT N’EST PAS EN GUERRE CONTRE LES TENANCIERS DE BARS ET DE MAQUIS DE LA RUE PRINCESSE. LE MINISTERE DE LA SALUBRITE URBAINE N’EST PAS CONTRE LES PAUVRES.
Chers journalistes,
Le Gouvernement veut tout simplement créer les conditions environnementales, sécuritaires et sanitaires pour que toutes les populations vivant en Côte d’Ivoire exercent librement leurs activités dans le respect des normes.
L’amélioration de notre cadre de vie va, à coup sûr, attirer chaque jour de nombreux investisseurs dans tous les secteurs d’activités. Des villes propres, belles et agréables boosteront la croissance économique. Elles attireront inéluctablement des milliers de touristes. Des emplois pour les jeunes et les femmes seront alors disponibles POUR LA RECONSTRUCTION DU PAYS.
Je ne saurais terminer mon propos sans adresser des mots de remerciements :
-Au Président de la République pour son soutien et ses conseils ;
-Au Premier Ministre pour sa confiance et son appui ;
-Au Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur pour son soutien
-Au chef d’Etat-major de l’Armée,
-Au commandant supérieur de la Gendarmerie,
-Aux membres du Gouvernement pour leur solidarité et leur soutien de tous les instants.
-Aux organisations, à l’Ordre des architectes, aux associations féminines de la société civile ;
-Aux religieux et Chefs traditionnels ;
-Aux Diplomates ;
-Aux Gouverneurs des Districts d’Abidjan et de Yamoussoukro
-Au Président de l’UVICOCI et aux Maires
Pour leur franche collaboration et leur aide précieuse.
Je réitère mes félicitations aux agents du Ministère qui œuvrent, chaque jour sans relâche, pour le succès de cette opération.
Je remercie les populations qui, par leurs appels et leur soutien, nous encouragent et participent à cette opération.
Je vous remercie.
Que Dieu Protège la Côte d’Ivoire.
Chers amis de la presse,
Je suis heureuse de vous recevoir dans les locaux du Ministère de la Salubrité Urbaine pour faire avec vous le point de « SPECIAL FETE DE L’INDEPENDANCE 2011/ OPERATION PAYS PROPRE », NOTAMMENT DU PROGRAMME DE DEGUERPISSEMENT EN COURS SUR LES GRANDES ARTERES DU DSITRICT D’ABIDJAN.
Je salue votre sens de la responsabilité dans le cadre des nouveaux défis qui attendent notre beau pays, la Côte d’Ivoire.
Je salue votre engagement pour informer juste et bien les populations.
Chers ami (es),
L’opération de déguerpissement en cours dans le District d’Abidjan fait partie du « Spécial Fête de l’Indépendance 2011/ Opération Pays propre » lancée le 8 juillet et qui prend fin le 30 décembre 2011. C’est une opération du Gouvernement de Côte d’Ivoire, endossée par le Chef de l’Etat qui, dans son discours à la Nation du 7 aout, est revenu sur la portée de cette action qui n’est pas dirigée contre les populations. Bien au contraire, Cette opération permettra de leur créer un cadre de vie propre, sain et agréable.
Pour la petite histoire, il y a quelques décennies, les célébrations de la Fête l’indépendance de notre beau pays étaient vécues comme de véritables fêtes populaires. Nos villes comme les populations, se paraient de leurs plus beaux habits. Les bâtiments publics et privés étaient repeints ; les jardins étaient bien tondus, les arbres badigeonnés à la chaux, les rues bien nettoyées, les ordures ramassées nuitamment, moins de constructions anarchiques…C’était la période de référence.
Aujourd’hui, cette ferveur a disparu. Elle a fait place à l’incivisme que nous déplorons tous. Notre cadre de vie est sale. Nos rues sont jonchées de baraques, d’étals sauvages, de commerçants à la sauvette qui, au mépris de tout, salissent les rues.
Les populations construisent sur les servitudes publiques, bouchant les voies de canalisation. Quand il pleut, la ville enregistre des drames. Des familles sont endeuillées. Le pays est privé de bras valides.
Les mairies, elles, ont du mal à faire le curage des caniveaux. Les commerçants de véhicules d’occasion, les transporteurs, les artisans ont transformé nos rues en de vastes marchés à ciel ouvert. Ces marchés sont plutôt des dépotoirs qui nuisent à la santé des populations. Nos grands boulevards qui faisaient la fierté de la Ville d’Abidjan, capitale économique du pays, ont perdu de leur superbe. Certaines de nos rues, pour ne pas les nommer, sont devenues des lieux mondialement connus de prostitution OU DE TOURISME SEXUEL présenté hélas comme un patrimoine culturel et historique. Le taux de prévalence du VIH/SIDA y est très élevé selon les chiffres des experts.
On y mange, on y boit dans les ordures. Les populations sont victimes des nuisances sonores des bars et maquis.
Devons-nous croiser les bras face à notre cadre de vie qui se dégrade de jour en jour du fait de l’incivisme de quelques-uns ? Devons-nous permettre l’anarchie au motif que cette situation de désordre donne à manger à certains ? Devons-nous mettre en péril la santé et la sécurité des populations parce que « on ne sait pas où aller » ou « parce qu’on a faim » ? Devons-nous vivre dans la saleté parce qu’on est pauvre ?
NON ! JE NON ET NON !!!
Aujourd’hui, Les populations sont menacées par le choléra, le paludisme, la fièvre typhoïde. Pourquoi ne pas revenir aux vieilles bonnes recettes qui marchent ?
L’Etat a un devoir de protection civile. L’Etat de Côte d’Ivoire a l’obligation de créer les conditions de sécurité et de santé en offrant d’abord aux ivoiriens un cadre de vie agréable, propre et sain.
Nous sommes dans une ère où l’Etat pourrait être attaqué en justice parce qu’il a failli. L’Etat ne veut pas faillir. L’Etat incarne l’Autorité dans toute sa plénitude. L’Etat veut DONC offrir un CADRE DE VIE SAIN aux populations. C’est son devoir, c’est aussi le Droit des populations de l’exiger !
Vous l’avez compris, dans son programme de gouvernement, le Président de la République a décidé de traiter la salubrité urbaine au même titre que la santé, l’éducation, la sécurité…Il affiche une volonté politique qui nous commande d’agir et vite. L’Etat et les populations doivent se donner la main pour réussir ce challenge.
C’est pourquoi, nous avons lancé l’opération de déguerpissement le 29 juillet conformément à L’ARRETE N°002 MVSU/CAB DU 16 JANVIER 2008 PORTANT SUR LA PROPRETE DES VOIES PUBLIQUES ET DE LEURS EMPRISES. Ce programme ne concerne pour le moment que les voies principales sur le District d’Abidjan. Progressivement, elle s’étendra à tous les quartiers, au reste du pays.
Pour l’heure, les installations anarchiques sur le VGE et sur la Route de l’aéroport ont été détruites. Les commerçants à la gare de Grand-Bassam ont été déguerpis du domaine public. Les boulevards Marseille, Latrille, France, La Rue Princesse ont été également visités et dégagés après information et sensibilisation des populations.
Nous avons fait des COMMUNIQUES A LA TELEVISION ET A LA RADIO nationale pour informer les populations de cette opération. Outre les communiqués de presse diffusés largement dans vos journaux, des EQUIPES ECLAIREUSES ont distribué, au moins deux jours avant, dans chacune des rues visitées, les communiqués signés de ma main.
Cette opération est IRREVERSIBLE. En effet, c’est à l’Etat d’inculquer aux citoyens la notion du maintien du bien public dans un état de propreté absolue.
Nous allons nous donner les moyens de suivi et de contrôle et demander aux maires de mettre en valeur les espaces déguerpis. Ils peuvent les transformer en jardins et parcs. Nous allons les aider dans cette voie.
Pour rendre le PAYS PROPRE, nous avons besoin de renforcer la propreté sur les voies principales. Nous avons besoin que les populations (commerçants, transporteurs, vendeurs à la sauvette) et les ménages, participent à cette gestion de la salubrité urbaine à travers un comportement civique. LE COMMERCE DOIT SE FAIRE DANS LES NORMES ET NON DANS L’ANARCHIE. L’ETAT A TRAVERS LES MAIRIES EST PRET A ACCOMPAGNER CE MOUVEMENT IRREVERSIBLE.
Dans notre société marquée par L’HYPER CONSOMMATION, le cadre de vie et la santé des populations doivent être prises en compte.
L’ENVIRONNEMENT INFLUENCE DIRECTEMENT LA PRODUCTION ECONOMIQUE ET LE NIVEAU DE CONSOMMATION DES MENAGES. Un homme en bonne santé mentale et physique est plus enclin à produire et à consommer.
Un homme dans un environnement sain est plus productif que celui qui vit dans les ordures et déchets. Si un travailleur doit s’acheter des médicaments pour soigner tous les jours son paludisme ou son choléra provoqués par l’insalubrité, il ne peut pas avoir un rendement de production élevé !!! Il devient improductif.
C’est pourquoi, au-delà de la grogne de populations déguerpies, ce que je comprends, j’invite LES MEDIAS et TOUTE LA POPULATION IVOIRIENNE à apprécier non seulement la portée civique de cette opération, mais aussi sa portée sociale et économique.
L’ETAT N’EST PAS CONTRE SES POPULATIONS. L’ETAT N’EST PAS CONTRE LES TRANSPORTEURS ET LES COMMERÇANTS. L’ETAT N’EST PAS EN GUERRE CONTRE LES TENANCIERS DE BARS ET DE MAQUIS DE LA RUE PRINCESSE. LE MINISTERE DE LA SALUBRITE URBAINE N’EST PAS CONTRE LES PAUVRES.
Chers journalistes,
Le Gouvernement veut tout simplement créer les conditions environnementales, sécuritaires et sanitaires pour que toutes les populations vivant en Côte d’Ivoire exercent librement leurs activités dans le respect des normes.
L’amélioration de notre cadre de vie va, à coup sûr, attirer chaque jour de nombreux investisseurs dans tous les secteurs d’activités. Des villes propres, belles et agréables boosteront la croissance économique. Elles attireront inéluctablement des milliers de touristes. Des emplois pour les jeunes et les femmes seront alors disponibles POUR LA RECONSTRUCTION DU PAYS.
Je ne saurais terminer mon propos sans adresser des mots de remerciements :
-Au Président de la République pour son soutien et ses conseils ;
-Au Premier Ministre pour sa confiance et son appui ;
-Au Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur pour son soutien
-Au chef d’Etat-major de l’Armée,
-Au commandant supérieur de la Gendarmerie,
-Aux membres du Gouvernement pour leur solidarité et leur soutien de tous les instants.
-Aux organisations, à l’Ordre des architectes, aux associations féminines de la société civile ;
-Aux religieux et Chefs traditionnels ;
-Aux Diplomates ;
-Aux Gouverneurs des Districts d’Abidjan et de Yamoussoukro
-Au Président de l’UVICOCI et aux Maires
Pour leur franche collaboration et leur aide précieuse.
Je réitère mes félicitations aux agents du Ministère qui œuvrent, chaque jour sans relâche, pour le succès de cette opération.
Je remercie les populations qui, par leurs appels et leur soutien, nous encouragent et participent à cette opération.
Je vous remercie.
Que Dieu Protège la Côte d’Ivoire.
