SYDNEY, Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a estimé jeudi à Sydney que la "révolution de l'espérance" qui a balayé l'Afrique du Nord et la Côte d'Ivoire était un "message" aux autres pays sur l'impératif démocratique et la volonté populaire.
"Une révolution de l'espérance s'est levée en Afrique du Nord et au-delà", a déclaré Ban Ki-moon dans un discours à l'université de Sydney, en citant notamment la Libye, la Syrie et la Côte d'Ivoire.
La Libye, a-t-il continué, "est un exemple de la capacité du monde à s'entendre pour protéger un peuple dans le cas où ses propres dirigeants ne peuvent ou ne veulent pas le faire".
"Les Libyens et les autres ont pris beaucoup de risques pour défendre les libertés fondamentales et les droits de l'Homme. Ils ont maintenant besoin de nous pour soutenir les transitions démocratiques", a-t-il dit.
De la même façon, "quand le président sortant de Côte d'Ivoire (Laurent Gbagbo, ndlr) a tenté de voler une élection dans un bain de sang cette année, l'ONU est intervenue et l'en a empêché", a rappelé M. Ban.
A travers cette intervention, "nous avons adressé un message clair (aux pays de) la région, selon lequel la démocratie et la volonté populaire doivent être respectées", a-t-il conclu.
"Une révolution de l'espérance s'est levée en Afrique du Nord et au-delà", a déclaré Ban Ki-moon dans un discours à l'université de Sydney, en citant notamment la Libye, la Syrie et la Côte d'Ivoire.
La Libye, a-t-il continué, "est un exemple de la capacité du monde à s'entendre pour protéger un peuple dans le cas où ses propres dirigeants ne peuvent ou ne veulent pas le faire".
"Les Libyens et les autres ont pris beaucoup de risques pour défendre les libertés fondamentales et les droits de l'Homme. Ils ont maintenant besoin de nous pour soutenir les transitions démocratiques", a-t-il dit.
De la même façon, "quand le président sortant de Côte d'Ivoire (Laurent Gbagbo, ndlr) a tenté de voler une élection dans un bain de sang cette année, l'ONU est intervenue et l'en a empêché", a rappelé M. Ban.
A travers cette intervention, "nous avons adressé un message clair (aux pays de) la région, selon lequel la démocratie et la volonté populaire doivent être respectées", a-t-il conclu.