L’Assemblée générale des Nations Unies se réunira les 19 et 20 septembre prochains à New York, de l’optique de s'attaquer à des maladies non transmissibles (MNT) qui entraînent un important de décès dans le monde.
Les maladies cardiovasculaires, les maladies respiratoires chroniques, le cancer et le diabète, des MNT liées au mode de vie comme le fait de fumer, d'avoir une mauvaise alimentation, de ne pas pratiquer une activité physique régulière ou de consommer de l'alcool à l'excès, sont beaucoup meurtrières, selon une information de l’OMS diffusée sur le site de l’ambassade des USA à Abidjan.
"Les maladies transmissibles représentent en effet 63% de tous les décès au monde", révèle-t-on.
La décision de l’ONU de consacrer un sommet aux MNT reflète la prise de conscience croissante du boulet que sont ces maladies pour le développement économique, indique l’information de l’OMS, ajoutant que le coût mondial des MNT, entre 2005 et 2030, est estimé à 35.000 milliards de dollars, au regard d’une étude de la Banque mondiale.
La session de l'ONU qui aura lieu prochainement aura le mérite de mettre en relief ces maladies chroniques qui ont tendance à échapper à l'attention du public en raison de leur longue période d'incubation.
Les MNT ont beau avoir des conséquences considérables, elles ne sont pas moins évitables, et les participants à la session de l'ONU formuleront des stratégies sur la manière de faire passer cette information dans la population mondiale, fait remarquer l’OMS aux populations qui sont exposées au quotidien à ces maladies.
"Arrêter de fumer, renoncer aux mauvaises habitudes alimentaires, faire de l'exercice et modérer sa consommation d'alcool par exemple, sont autant de stratégies capables d'alléger le tribut des MNT, notamment les maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2 d'environ 75%, et le cancer de 40%", selon le Dr Roger Glass, directeur du Fogarty International Center à l'Institut national de la santé (NIH).
"A ce jour, l'Assemblée générale de l'ONU n'a consacré une session spéciale qu'à une seule maladie, en l'occurrence le VIH/Sida. Cet événement avait marqué un tournant dans la coopération mondiale et dans la lutte contre cette maladie", fait observer le Dr Glass qui espère voir l'histoire se répéter les 19 et 20 septembre prochains.
(AIP)
kp
Les maladies cardiovasculaires, les maladies respiratoires chroniques, le cancer et le diabète, des MNT liées au mode de vie comme le fait de fumer, d'avoir une mauvaise alimentation, de ne pas pratiquer une activité physique régulière ou de consommer de l'alcool à l'excès, sont beaucoup meurtrières, selon une information de l’OMS diffusée sur le site de l’ambassade des USA à Abidjan.
"Les maladies transmissibles représentent en effet 63% de tous les décès au monde", révèle-t-on.
La décision de l’ONU de consacrer un sommet aux MNT reflète la prise de conscience croissante du boulet que sont ces maladies pour le développement économique, indique l’information de l’OMS, ajoutant que le coût mondial des MNT, entre 2005 et 2030, est estimé à 35.000 milliards de dollars, au regard d’une étude de la Banque mondiale.
La session de l'ONU qui aura lieu prochainement aura le mérite de mettre en relief ces maladies chroniques qui ont tendance à échapper à l'attention du public en raison de leur longue période d'incubation.
Les MNT ont beau avoir des conséquences considérables, elles ne sont pas moins évitables, et les participants à la session de l'ONU formuleront des stratégies sur la manière de faire passer cette information dans la population mondiale, fait remarquer l’OMS aux populations qui sont exposées au quotidien à ces maladies.
"Arrêter de fumer, renoncer aux mauvaises habitudes alimentaires, faire de l'exercice et modérer sa consommation d'alcool par exemple, sont autant de stratégies capables d'alléger le tribut des MNT, notamment les maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2 d'environ 75%, et le cancer de 40%", selon le Dr Roger Glass, directeur du Fogarty International Center à l'Institut national de la santé (NIH).
"A ce jour, l'Assemblée générale de l'ONU n'a consacré une session spéciale qu'à une seule maladie, en l'occurrence le VIH/Sida. Cet événement avait marqué un tournant dans la coopération mondiale et dans la lutte contre cette maladie", fait observer le Dr Glass qui espère voir l'histoire se répéter les 19 et 20 septembre prochains.
(AIP)
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