La ministre de l’Education nationale, Mme Kandia Camara, a exhorté les partenaires du système éducatif ivoirien à restaurer dans ses fondamentaux l’école en Côte d’Ivoire. C’était le lundi 17 octobre 2011 au cours d’une journée d’information et de sensibilisation des partenaires au Plateau.
Pour Kandia Camara, c’est aujourd’hui un euphémisme de dire que l’école ivoirienne est malade. Les constats et les indicateurs de performance, dit-elle, montrent clairement son état de santé. C’est pourquoi, pense-t-elle, le soutien des partenaires de l’éducation est plus que nécessaire afin de trouver des solutions appropriées. «Il nous faut, par tous les moyens, restaurer cette école pour la réconcilier avec la société», a-t-elle recommandé. Elle s’est ensuite réjouie de la présence des partenaires du système éducatif dont l’Unicef, la Banque mondiale, etc. «Votre présence constitue pour nous, une motivation supplémentaire dans la recherche d’initiatives pertinentes pour restaurer notre système éducatif et pour jeter les bases d’une politique afin de le rendre plus performant et plus équitable», a-t-elle affirmé. Prenant la parole, le représentant du Premier ministre, le ministre d’Etat, ministre du Plan, Albert Mabri Toikeusse, a remercié tous les partenaires éducatifs et la communauté internationale pour avoir permis de sauver l’année scolaire 2010-2011. A en croire le ministre d’Etat, l’objectif du gouvernement est de faire de l’école en Côte d’Ivoire, une école qui gagne et au service du développement par la formation de ressources humaines compétentes et dynamiques. Pour ce faire, a promis Mabri Toikeusse, l’Etat fera sa part et il importe que tous y mettent du sien. Car, conclut-il, « c’est tous ensemble que nous donnerons aux enfants de Côte d’Ivoire la chance de réussir ; d’être utiles à eux-mêmes, à leurs familles et aussi à l’Etat».
D.Yala
Pour Kandia Camara, c’est aujourd’hui un euphémisme de dire que l’école ivoirienne est malade. Les constats et les indicateurs de performance, dit-elle, montrent clairement son état de santé. C’est pourquoi, pense-t-elle, le soutien des partenaires de l’éducation est plus que nécessaire afin de trouver des solutions appropriées. «Il nous faut, par tous les moyens, restaurer cette école pour la réconcilier avec la société», a-t-elle recommandé. Elle s’est ensuite réjouie de la présence des partenaires du système éducatif dont l’Unicef, la Banque mondiale, etc. «Votre présence constitue pour nous, une motivation supplémentaire dans la recherche d’initiatives pertinentes pour restaurer notre système éducatif et pour jeter les bases d’une politique afin de le rendre plus performant et plus équitable», a-t-elle affirmé. Prenant la parole, le représentant du Premier ministre, le ministre d’Etat, ministre du Plan, Albert Mabri Toikeusse, a remercié tous les partenaires éducatifs et la communauté internationale pour avoir permis de sauver l’année scolaire 2010-2011. A en croire le ministre d’Etat, l’objectif du gouvernement est de faire de l’école en Côte d’Ivoire, une école qui gagne et au service du développement par la formation de ressources humaines compétentes et dynamiques. Pour ce faire, a promis Mabri Toikeusse, l’Etat fera sa part et il importe que tous y mettent du sien. Car, conclut-il, « c’est tous ensemble que nous donnerons aux enfants de Côte d’Ivoire la chance de réussir ; d’être utiles à eux-mêmes, à leurs familles et aussi à l’Etat».
D.Yala