De grands changements en perspective. La Radiodiffusion télévision ivoirienne (Rti) est lancée, depuis sa reprise, sur le chemin de la qualité.
Le Directeur général du média d’Etat, Aka Sayé Lazare, qui ne veut pas s’arrêter en si bon chemin, a annoncé, hier, au cours d’un point de presse, au siège de la télévision à Cocody, la tenue, les jeudi 20 et vendredi 21 à Grand Bassam, d’une conférence éditoriale, pour engager ses agents au travail. Il s’agira, au cours de ces deux jours de réflexion, a-t-il indiqué, de revisiter les fondamentaux du métier de journaliste, d’apprendre aux agents du média à capitaux publics les rudiments de la profession et de réaffirmer le rôle de la télévision qui se résume dans le triptyque : éduquer, informer, distraire. Le Dg de la Rti s’est également insurgé contre les travailleurs auxquels la conscience professionnelle fait encore défaut. Il a informé que deux études en sa possession démontrent clairement qu’à la Rti, sur les 900 agents, un tiers travaille, un autre tiers arrive à son poste en retard quand le dernier tiers ne vient pas au travail. Il s’est engagé à mettre fin à ce laxisme et à faire en sorte que dans un avenir proche, il n’y ait plus de «journaleux» à la Rti. Plusieurs spécialistes ont été invités à la rencontre de Grand-Bassam pour apporter leurs expériences aux travailleurs de la télévision.
M’Bah Aboubakar
Le Directeur général du média d’Etat, Aka Sayé Lazare, qui ne veut pas s’arrêter en si bon chemin, a annoncé, hier, au cours d’un point de presse, au siège de la télévision à Cocody, la tenue, les jeudi 20 et vendredi 21 à Grand Bassam, d’une conférence éditoriale, pour engager ses agents au travail. Il s’agira, au cours de ces deux jours de réflexion, a-t-il indiqué, de revisiter les fondamentaux du métier de journaliste, d’apprendre aux agents du média à capitaux publics les rudiments de la profession et de réaffirmer le rôle de la télévision qui se résume dans le triptyque : éduquer, informer, distraire. Le Dg de la Rti s’est également insurgé contre les travailleurs auxquels la conscience professionnelle fait encore défaut. Il a informé que deux études en sa possession démontrent clairement qu’à la Rti, sur les 900 agents, un tiers travaille, un autre tiers arrive à son poste en retard quand le dernier tiers ne vient pas au travail. Il s’est engagé à mettre fin à ce laxisme et à faire en sorte que dans un avenir proche, il n’y ait plus de «journaleux» à la Rti. Plusieurs spécialistes ont été invités à la rencontre de Grand-Bassam pour apporter leurs expériences aux travailleurs de la télévision.
M’Bah Aboubakar
