Ils ont répondu nombreux au rendez-vous du 18 décembre du rappeur français La Fouine et de Orange Côte d’Ivoire, à l’Espace Anoumabo du Palais de la Culture de Treichville. Les 4000 places dudit espace ont été dépassées. Les Teenagers pour la plupart s’y sont donné à cœur joie.
Casquettes, bonnets, bob, melons, tee-shirts, jean, culottes, baskets, lunettes au style retro version Asa (artiste nigériane) donnaient le goût d’une «fashion attitude» adoptée par le public qui ne cachait pas sa grande impatience de voir leur idole (La Fouine) une fois la programmation des «guest stars» (artistes invités) épuisée. «On veut La Fouine», s’écriait-il pendant la balance des instrumentistes de l’artiste français. Se sont succédé sur la scène les artistes Kif No Beat, Ben Mpeck en featuring avec Naftali, Mouss 2Baby, Nash,
Les mauvais garçons (Ourfa & Garba 50) … Coiffé d’une casquette rouge et noire aux couleurs de son blouson et du jean, le rappeur français La Fouine suscite le délire chez les nombreux fans dès son apparition. Dans un espace conquis à l’avance, La Fouine peut même se priver par moments de son micro car son répertoire est connu du public. Après deux chants, le soliste, le bassiste, le pianiste et le batteur se retirent de la scène. Le semi live qui suit est une partie de bonheur pour le DJ qui sert aussi de seconde voix pour le rappeur.
Moins d’une heure après, les musiciens qui regagnent la scène donnent une (autre) coloration au show. La Fouine, jouant d’une guitare, livre une version calme et douce de son répertoire et se permet une reprise de «No woman no cry» du Jamaïcain Bob Marley. En «backstage» (arrière de la scène), l’on peut voir Yves Zogbo Junior – casquette, allure de rappeur – se mouvoir, appréciant le jeu du chanteur.
Sur la scène, La Fouine entretient longuement le public qui n’en demandait pas mieux. Vu le nombre de spectateurs au-delà de la limite (4000 places), l’artiste français lance le défi de la mobilisation pour les prochaines dates dans le même espace où sont attendus Ferre Gola (23 décembre), Fanny J. et Dibi Dobo (23 décembre), Arafat (26 décembre), Fally Ipupa and guests (27 décembre), etc.
Koné Saydoo
Casquettes, bonnets, bob, melons, tee-shirts, jean, culottes, baskets, lunettes au style retro version Asa (artiste nigériane) donnaient le goût d’une «fashion attitude» adoptée par le public qui ne cachait pas sa grande impatience de voir leur idole (La Fouine) une fois la programmation des «guest stars» (artistes invités) épuisée. «On veut La Fouine», s’écriait-il pendant la balance des instrumentistes de l’artiste français. Se sont succédé sur la scène les artistes Kif No Beat, Ben Mpeck en featuring avec Naftali, Mouss 2Baby, Nash,
Les mauvais garçons (Ourfa & Garba 50) … Coiffé d’une casquette rouge et noire aux couleurs de son blouson et du jean, le rappeur français La Fouine suscite le délire chez les nombreux fans dès son apparition. Dans un espace conquis à l’avance, La Fouine peut même se priver par moments de son micro car son répertoire est connu du public. Après deux chants, le soliste, le bassiste, le pianiste et le batteur se retirent de la scène. Le semi live qui suit est une partie de bonheur pour le DJ qui sert aussi de seconde voix pour le rappeur.
Moins d’une heure après, les musiciens qui regagnent la scène donnent une (autre) coloration au show. La Fouine, jouant d’une guitare, livre une version calme et douce de son répertoire et se permet une reprise de «No woman no cry» du Jamaïcain Bob Marley. En «backstage» (arrière de la scène), l’on peut voir Yves Zogbo Junior – casquette, allure de rappeur – se mouvoir, appréciant le jeu du chanteur.
Sur la scène, La Fouine entretient longuement le public qui n’en demandait pas mieux. Vu le nombre de spectateurs au-delà de la limite (4000 places), l’artiste français lance le défi de la mobilisation pour les prochaines dates dans le même espace où sont attendus Ferre Gola (23 décembre), Fanny J. et Dibi Dobo (23 décembre), Arafat (26 décembre), Fally Ipupa and guests (27 décembre), etc.
Koné Saydoo