« La fête de la lumière » est de mise à Abidjan. Depuis quelques jours, il fait bon de traverser les grandes artères de la capitale économique, notamment le Plateau, le boulevard Giscard d’Estaing, l’aéroport et bien d’autres endroits. En cette fin d’année, Abidjan est riche en couleurs et en lumière.
La symbolique est de grande signification. A la décennie de refondation, avec son lot et son vecteur commun qui étaient la mauvaise gouvernance, la prédation, la corruption, la tricherie, la violence, le rendez- vous du sang, l’obscurité et l’obscurantisme, a succédé une nouvelle ère de bonne gouvernance, de transparence, de rigueur dans la gestion de la chose publique et de développement.
Alors que Laurent Gbagbo avait érigé en mode de gestion, la culture de l’enrichissement illicite, de l’aisance mal acquise, de la jouissance et de la paresse, Alassane Ouattara a ouvert le temps du travail, du don de soi et du patriotisme vrai. Pendant dix ans, le grand chef des refondateurs avait installé une OPA sur la Côte d’Ivoire et s’était doté du droit de vie et de mort sur ses concitoyens, plongeant joyeusement et cyniquement son pays dans le noir et la désolation.
A contrario, dès sa prise de fonction, Alassane Ouattara n’a eu de cesse de faire la promotion de la vie, du progrès, du bien être social. Pour sûr donc, « la fête de la lumière » marque la rupture entre un passé à vite oublier et un ordre nouveau où la Côte d’Ivoire retrouve la paix et inaugure le temps de la réconciliation et du pardon. Après la période d’enfer que les refondateurs et leurs laquais de service ont savamment programmé et planifié, la Côte d’Ivoire renait de ses cendres, sous l’impulsion d’Alassane Ouattara, cet économiste chevronné dont quelqu’un disait qu’il est « brillant et travailleur ». Depuis le 11 avril dernier, la Côte d’Ivoire a un bien meilleur visage.
Les apprentis qui avaient usurpé les manettes et leviers de commandement du pays ont été ramenés à la raison. Les professionnels du développement sont montés au pinacle, pour le renouveau de la terre chère à Félix Houphouët Boigny. Tout le monde voit les mutations qui s’opèrent sous nos yeux, à part les gens de mauvaise foi. La Noel et le Nouvel an arrivent, la Côte d’Ivoire aussi !
La symbolique est de grande signification. A la décennie de refondation, avec son lot et son vecteur commun qui étaient la mauvaise gouvernance, la prédation, la corruption, la tricherie, la violence, le rendez- vous du sang, l’obscurité et l’obscurantisme, a succédé une nouvelle ère de bonne gouvernance, de transparence, de rigueur dans la gestion de la chose publique et de développement.
Alors que Laurent Gbagbo avait érigé en mode de gestion, la culture de l’enrichissement illicite, de l’aisance mal acquise, de la jouissance et de la paresse, Alassane Ouattara a ouvert le temps du travail, du don de soi et du patriotisme vrai. Pendant dix ans, le grand chef des refondateurs avait installé une OPA sur la Côte d’Ivoire et s’était doté du droit de vie et de mort sur ses concitoyens, plongeant joyeusement et cyniquement son pays dans le noir et la désolation.
A contrario, dès sa prise de fonction, Alassane Ouattara n’a eu de cesse de faire la promotion de la vie, du progrès, du bien être social. Pour sûr donc, « la fête de la lumière » marque la rupture entre un passé à vite oublier et un ordre nouveau où la Côte d’Ivoire retrouve la paix et inaugure le temps de la réconciliation et du pardon. Après la période d’enfer que les refondateurs et leurs laquais de service ont savamment programmé et planifié, la Côte d’Ivoire renait de ses cendres, sous l’impulsion d’Alassane Ouattara, cet économiste chevronné dont quelqu’un disait qu’il est « brillant et travailleur ». Depuis le 11 avril dernier, la Côte d’Ivoire a un bien meilleur visage.
Les apprentis qui avaient usurpé les manettes et leviers de commandement du pays ont été ramenés à la raison. Les professionnels du développement sont montés au pinacle, pour le renouveau de la terre chère à Félix Houphouët Boigny. Tout le monde voit les mutations qui s’opèrent sous nos yeux, à part les gens de mauvaise foi. La Noel et le Nouvel an arrivent, la Côte d’Ivoire aussi !