Bouaflé, Des jeunes de Bouaflé, interrogés par l'AIP lors d’un micro-trottoir, dimanche, souhaitent que l’année 2012 soit celle de la réconciliation vraie entre les Ivoiriens.
Ces jeunes ont estimé que les Ivoiriens doivent parvenir au pardon mutuel pour que la paix règne définitivement en Côte d’Ivoire.
Selon Akia Alban, en terminale D au Lycée 1, cette année est celle de la reconstruction dans tous les domaines sans rancune, ni méchanceté. « Nous devons être capables de nous accepter et de partager ensemble sans toujours nous justifier des actes antérieurs que nous avons commis », a-t-il indiqué.
Quant à N’Da Julien, étudiant, il estime que les Ivoiriens doivent oublier les affres de la crise postélectorale et se tourner vers la reconstruction afin d’avoir dans les prochaines années un pays fort et réunifié. « C’est la main dans la main que nous pouvons bâtir cette nation », a-t-il fait savoir.
Il a invité la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) à s’impliquer résolution dans la restauration de la paix en menant des campagnes de sensibilisation dans les villages et hameaux du pays.
Selon Doukouré Stéphane, élève en classe de Terminale, la réconciliation est possible cette année si chacun accepte son prochain avec tolérance et sans préjugés. « L’année 2012 est une nouvelle page qui s’offre aux ivoiriens pour qu’ils entrent par la porte de la réconciliation », a-t-il indiqué. (AIP)
Ces jeunes ont estimé que les Ivoiriens doivent parvenir au pardon mutuel pour que la paix règne définitivement en Côte d’Ivoire.
Selon Akia Alban, en terminale D au Lycée 1, cette année est celle de la reconstruction dans tous les domaines sans rancune, ni méchanceté. « Nous devons être capables de nous accepter et de partager ensemble sans toujours nous justifier des actes antérieurs que nous avons commis », a-t-il indiqué.
Quant à N’Da Julien, étudiant, il estime que les Ivoiriens doivent oublier les affres de la crise postélectorale et se tourner vers la reconstruction afin d’avoir dans les prochaines années un pays fort et réunifié. « C’est la main dans la main que nous pouvons bâtir cette nation », a-t-il fait savoir.
Il a invité la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) à s’impliquer résolution dans la restauration de la paix en menant des campagnes de sensibilisation dans les villages et hameaux du pays.
Selon Doukouré Stéphane, élève en classe de Terminale, la réconciliation est possible cette année si chacun accepte son prochain avec tolérance et sans préjugés. « L’année 2012 est une nouvelle page qui s’offre aux ivoiriens pour qu’ils entrent par la porte de la réconciliation », a-t-il indiqué. (AIP)
