Les résultats des analyses Adn du squelette retrouvé, vendredi dernier, à Issia et qui pourrait être celui de Guy-André Kieffer, seront connus demain ou mercredi. C’est l’épouse du journaliste franco-canadien, disparu en 2004, à Abidjan, qui a donné l’information à l’Afp.
« Le juge m’a dit que les résultats arriveraient mardi ou mercredi », a déclaré Osange Silou-Kieffer, précisant que les échantillons d’Adn prélevés sur le squelette ont été convoyés en France par avion. Jugeant que la découverte de ce squelette est « une pièce importante du dossier, Osange Silou-Kieffer précise qu’à ce jour « on n’a aucune preuve qu’il a été assassiné. On a toujours cru au 1% de chance qu`il soit encore vivant ». S’il s`avère que le squelette est celui de son mari, ‘’on ne devra plus gérer un enlèvement mais un assassinat, et entrer dans un processus de deuil’’, a-t-elle ajouté, soulignant que « l’affaire ne sera pas terminée tant que les coupables ne seront pas punis ». De source judiciaire ivoirienne, le juge français Patrick Ramaël, qui a supervisé les fouilles d’Issia, doit rester encore une dizaine de jours en Côte d’Ivoire, où il est arrivé le 2 janvier, pour poursuivre ses investigations.
M.D.aff
« Le juge m’a dit que les résultats arriveraient mardi ou mercredi », a déclaré Osange Silou-Kieffer, précisant que les échantillons d’Adn prélevés sur le squelette ont été convoyés en France par avion. Jugeant que la découverte de ce squelette est « une pièce importante du dossier, Osange Silou-Kieffer précise qu’à ce jour « on n’a aucune preuve qu’il a été assassiné. On a toujours cru au 1% de chance qu`il soit encore vivant ». S’il s`avère que le squelette est celui de son mari, ‘’on ne devra plus gérer un enlèvement mais un assassinat, et entrer dans un processus de deuil’’, a-t-elle ajouté, soulignant que « l’affaire ne sera pas terminée tant que les coupables ne seront pas punis ». De source judiciaire ivoirienne, le juge français Patrick Ramaël, qui a supervisé les fouilles d’Issia, doit rester encore une dizaine de jours en Côte d’Ivoire, où il est arrivé le 2 janvier, pour poursuivre ses investigations.
M.D.aff