C’est un grand moment pour la France de recevoir, enfin après tant d’années, un ami, un Président démocratiquement élu, un homme qui a fait ses preuves, un homme qui a gagné les élections en Côte d’Ivoire, un homme qui représente le choix libre des Ivoiriens. C’est une grande souffrance que de ne pas avoir pu entretenir avec la Côte d’Ivoire, pendant toutes ces années, ces liens culturels, économiques que nous avions depuis tant d’années avec la patrie du président Houphouët-Boigny.
Pendant dix ans, les Ivoiriens ont été privés d’élection et nous avons été heureux, sous mandat des Nations Unies, d’aider à rétablir la paix civile en Côte d’Ivoire. Nous sommes conscients d’avoir évité une guerre civile. Et depuis son élection, le président Ouattara n’a eu de cesse de témoigner, par des gestes, sa volonté de réconcilier le peuple ivoirien. Le président Ouattara peut compter sur la solidarité de la France. Nous avons signé un nouvel accord de défense. Je remercie le ministre de la Défense, Gérard Longuet, de la part qu’il a prise. Cet accord qui sera publié, montre que la France est aux côtés de la Côte d’Ivoire dans le domaine sécuritaire. L’armée française n’a pas vocation à s’ingérer ni de près ni de loin dans les affaires de la Côte d’Ivoire. La France n’a pas de candidat en Afrique, la France ne soutient pas de candidat en Afrique. La France est intervenue aux côtés du Président Ouattara parce que les Nations Unies avaient reconnu son élection, la validité des élections, la régularité de la campagne. Et maintenant, la France va faire tout son effort pour aider les Ivoiriens à reconstruire leur pays, à assurer la sécurité pour chacun et à donner un avenir à tous les jeunes ivoiriens. C’est donc en ami qu’Alassane Ouattara est reçu ici.
Je voudrais dire à titre personnel mon admiration pour son parcours, son courage, sa ténacité et la façon dont il continue de tendre la main à chacun en Côte d’Ivoire. Il n’y a que les gens forts qui réconcilient. Cette jeunesse ivoirienne, après tant de débat qui n’avait aucun sens sur l’ivoirité, après tant de division, a la chance d’avoir un Président qui tient ses promesses et qui a une obsession à asseoir durablement la démocratie et le progrès dans son pays. Sur ce chemin, Monsieur le président, la France sera à vos côtés.
KORE EMMANUEL,
Envoyé spécial à Paris.
Pendant dix ans, les Ivoiriens ont été privés d’élection et nous avons été heureux, sous mandat des Nations Unies, d’aider à rétablir la paix civile en Côte d’Ivoire. Nous sommes conscients d’avoir évité une guerre civile. Et depuis son élection, le président Ouattara n’a eu de cesse de témoigner, par des gestes, sa volonté de réconcilier le peuple ivoirien. Le président Ouattara peut compter sur la solidarité de la France. Nous avons signé un nouvel accord de défense. Je remercie le ministre de la Défense, Gérard Longuet, de la part qu’il a prise. Cet accord qui sera publié, montre que la France est aux côtés de la Côte d’Ivoire dans le domaine sécuritaire. L’armée française n’a pas vocation à s’ingérer ni de près ni de loin dans les affaires de la Côte d’Ivoire. La France n’a pas de candidat en Afrique, la France ne soutient pas de candidat en Afrique. La France est intervenue aux côtés du Président Ouattara parce que les Nations Unies avaient reconnu son élection, la validité des élections, la régularité de la campagne. Et maintenant, la France va faire tout son effort pour aider les Ivoiriens à reconstruire leur pays, à assurer la sécurité pour chacun et à donner un avenir à tous les jeunes ivoiriens. C’est donc en ami qu’Alassane Ouattara est reçu ici.
Je voudrais dire à titre personnel mon admiration pour son parcours, son courage, sa ténacité et la façon dont il continue de tendre la main à chacun en Côte d’Ivoire. Il n’y a que les gens forts qui réconcilient. Cette jeunesse ivoirienne, après tant de débat qui n’avait aucun sens sur l’ivoirité, après tant de division, a la chance d’avoir un Président qui tient ses promesses et qui a une obsession à asseoir durablement la démocratie et le progrès dans son pays. Sur ce chemin, Monsieur le président, la France sera à vos côtés.
KORE EMMANUEL,
Envoyé spécial à Paris.