François Fillon a assuré le président ivoirien Alassane Ouattara de la "totale disponibilité" des entreprises françaises pour investir en Côte d`Ivoire et a salué ce "grand représentant de la démocratie en Afrique", lors d`une réception vendredi à Matignon.
M. Ouattara, qui bouclait une visite d`Etat de trois jours en France, avait lancé, lors d`un passage au siège du patronat à Paris dans la matinée, un vibrant appel aux chefs d`entreprises français pour qu`ils s`associent à la "renaissance ivoirienne" et "accélèrent leur retour" dans le pays.
Lors d`un entretien avec M. Ouattara à Matignon, suivi d`un déjeuner, M. Fillon a "réitéré la totale disponibilité des entreprises françaises à investir davantage en Côte dIvoire, notamment dans les domaines de l`énergie, des transports ou de la construction", indique un communiqué de ses services.
Cette entrevue de plus d`une heure trente, à laquelle ont participé plusieurs ministres dont Claude Guéant (Intérieur), Eric Besson (Energie), Gérard Longuet (Défense) et Henri de Raincourt (Coopération), a été l`occasion pour le Premier ministre d`exprimer "son estime et son admiration" à "un grand représentant de la démocratie en Afrique", selon le communiqué.
M. Fillon, qui s`est rendu en Côte d`Ivoire l`été dernier, a confirmé à son hôte "le plein appui de la France face aux nombreux défis" qu`Abidjan "doit encore relever", notamment "ceux de la reconstruction, de la réconciliation et de la réforme du secteur de la sécurité".
Les deux dirigeants ont également évoqué "la question de la préparation du contrat de désendettement et développement, d`un montant de deux milliards d`euros annoncé l`an dernier par la France, qui doit notamment permettre de lutter contre la pauvreté, de renforcer l`Etat de droit et de contribuer à la formation des jeunes Ivoiriens".
M. Ouattara, qui a également rencontré en matinée le président de l`Assemblée nationale Bernard Accoyer, a été accueilli en grande pompe à Paris, notamment par son "ami" Nicolas Sarkozy, avec qui il s`est entretenu jeudi.
A l`occasion de cette visite, M. Ouattara a remercié la France pour son intervention militaire lors de la crise post-électorale de l`an dernier en Côte d`Ivoire.
M. Ouattara, qui bouclait une visite d`Etat de trois jours en France, avait lancé, lors d`un passage au siège du patronat à Paris dans la matinée, un vibrant appel aux chefs d`entreprises français pour qu`ils s`associent à la "renaissance ivoirienne" et "accélèrent leur retour" dans le pays.
Lors d`un entretien avec M. Ouattara à Matignon, suivi d`un déjeuner, M. Fillon a "réitéré la totale disponibilité des entreprises françaises à investir davantage en Côte dIvoire, notamment dans les domaines de l`énergie, des transports ou de la construction", indique un communiqué de ses services.
Cette entrevue de plus d`une heure trente, à laquelle ont participé plusieurs ministres dont Claude Guéant (Intérieur), Eric Besson (Energie), Gérard Longuet (Défense) et Henri de Raincourt (Coopération), a été l`occasion pour le Premier ministre d`exprimer "son estime et son admiration" à "un grand représentant de la démocratie en Afrique", selon le communiqué.
M. Fillon, qui s`est rendu en Côte d`Ivoire l`été dernier, a confirmé à son hôte "le plein appui de la France face aux nombreux défis" qu`Abidjan "doit encore relever", notamment "ceux de la reconstruction, de la réconciliation et de la réforme du secteur de la sécurité".
Les deux dirigeants ont également évoqué "la question de la préparation du contrat de désendettement et développement, d`un montant de deux milliards d`euros annoncé l`an dernier par la France, qui doit notamment permettre de lutter contre la pauvreté, de renforcer l`Etat de droit et de contribuer à la formation des jeunes Ivoiriens".
M. Ouattara, qui a également rencontré en matinée le président de l`Assemblée nationale Bernard Accoyer, a été accueilli en grande pompe à Paris, notamment par son "ami" Nicolas Sarkozy, avec qui il s`est entretenu jeudi.
A l`occasion de cette visite, M. Ouattara a remercié la France pour son intervention militaire lors de la crise post-électorale de l`an dernier en Côte d`Ivoire.