Le tout nouveau président de l’Assemblée Nationale, Soro Kigbafori Guillaume a été reçu en audience par le Président Henri Konan Bédié, le mercredi 14 Mars 2012. A sa sortie de cette rencontre, l’ex-Premier ministre a fait savoir qu’il est venu solliciter le parrainage du président du Pdci, en tant qu’ancien chef d’Etat mais surtout pour avoir occupé pendant 13 ans, le fauteuil de président de l’Assemblée Nationale.
«Comme vous le constatez, je suis venu rendre une visite de courtoisie au Président Henri Konan Bédié, après mon élection en qualité de président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire. Pour moi, il est tout à fait normal, c’est une évidence que je vienne d’abord en tout premier lieu dire toute ma gratitude et ma reconnaissance au président Bédié pour la contribution forte et importante qu’il a apportée à mon élection. Vous savez que dans le cadre du RHDP, tous les députés du PDCI ont participé au vote et ont porté leur choix sur moi. Je le dois au président Bédié et je suis aussi venu pour une seconde raison. Le président Bédié a été Président de l’Assemblée Nationale. Quoi de plus normal dans ce cadre-là de venir voir le doyen et lui demander non seulement des conseils mais surtout lui demander de nous accompagner, de nous parrainer dans la marche de la fonction nouvelle que nous endossons». C’est en substance ce qu’a fait savoir Soro Guillaume. Le président Bédié qui s’est réjoui de cette visite, a indiqué qu’il était de son devoir d’appuyer l’élection de celui qu’il considère comme son ‘’fils’’ avec les suffrages des députés du PDCI. Donnant son approbation à la requête de l’ancien locataire de la Primature, il lui a prodigué des conseils. «Concernant le parrainage qu’il sollicite, je dirai sans fausse modestie qu’après avoir été pendant 13 ans, président de l’Assemblée nationale, je n’ai aucune peine à accepter cette proposition», a-t-il répondu. Ajoutant au passage que l’Assemblée nationale est la deuxième institution politique du pays. «C’est aussi la maison du dialogue national et quand les débats tourneront dans l’essence, il est du devoir du président de l’Assemblée Nationale de recentrer les débats en faisant percevoir aux députés l’essentiel. Et l’essentiel dans un parlement, c’est l’intérêt général, l’intérêt supérieur de la Nation. Ce sont là les quelques conseils que je puisse avancer à mon ‘’fils’’ bien aimé, Guillaume Soro, président de l’Assemblée Nationale».
K. Hyacinthe
«Comme vous le constatez, je suis venu rendre une visite de courtoisie au Président Henri Konan Bédié, après mon élection en qualité de président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire. Pour moi, il est tout à fait normal, c’est une évidence que je vienne d’abord en tout premier lieu dire toute ma gratitude et ma reconnaissance au président Bédié pour la contribution forte et importante qu’il a apportée à mon élection. Vous savez que dans le cadre du RHDP, tous les députés du PDCI ont participé au vote et ont porté leur choix sur moi. Je le dois au président Bédié et je suis aussi venu pour une seconde raison. Le président Bédié a été Président de l’Assemblée Nationale. Quoi de plus normal dans ce cadre-là de venir voir le doyen et lui demander non seulement des conseils mais surtout lui demander de nous accompagner, de nous parrainer dans la marche de la fonction nouvelle que nous endossons». C’est en substance ce qu’a fait savoir Soro Guillaume. Le président Bédié qui s’est réjoui de cette visite, a indiqué qu’il était de son devoir d’appuyer l’élection de celui qu’il considère comme son ‘’fils’’ avec les suffrages des députés du PDCI. Donnant son approbation à la requête de l’ancien locataire de la Primature, il lui a prodigué des conseils. «Concernant le parrainage qu’il sollicite, je dirai sans fausse modestie qu’après avoir été pendant 13 ans, président de l’Assemblée nationale, je n’ai aucune peine à accepter cette proposition», a-t-il répondu. Ajoutant au passage que l’Assemblée nationale est la deuxième institution politique du pays. «C’est aussi la maison du dialogue national et quand les débats tourneront dans l’essence, il est du devoir du président de l’Assemblée Nationale de recentrer les débats en faisant percevoir aux députés l’essentiel. Et l’essentiel dans un parlement, c’est l’intérêt général, l’intérêt supérieur de la Nation. Ce sont là les quelques conseils que je puisse avancer à mon ‘’fils’’ bien aimé, Guillaume Soro, président de l’Assemblée Nationale».
K. Hyacinthe
