ABIDJAN - Les chefs d`état-major ouest-africains, chargés de mettre en place une force militaire régionale pour faire face à la crise au Mali, se réuniront jeudi à Abidjan, a-t-on appris mardi auprès de la présidence ivoirienne.
"Les chefs d`état-major de la Cédéao (Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest) se réuniront jeudi à Abidjan", a indiqué à l`AFP la présidence.
A l`issue d`un sommet lundi à Dakar, le chef de l`Etat ivoirien Alassane Ouattara, président en exercice de l`organisation, a annoncé "la mise en place immédiate de la force d`attente de la Cédéao" et indiqué que les chefs d`état-major devaient se réunir cette semaine à Abidjan "pour voir les modalités d`activation de cette force".
La Cédéao avait auparavant mis en état d`alerte sa force de quelque 2.000 hommes, alors que la rébellion touareg du Mouvement national pour la libération de l`Azawad (MNLA) et des groupes islamistes se sont emparés en quelques jours de la moitié nord du Mali.
L`organisation ouest-africaine a également décrété un "embargo total" contre la junte au pouvoir à Bamako, en vue d`obtenir le retour à l`ordre constitutionnel après le putsch du 22 mars contre le président Amadou Toumani Touré.
"Les chefs d`état-major de la Cédéao (Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest) se réuniront jeudi à Abidjan", a indiqué à l`AFP la présidence.
A l`issue d`un sommet lundi à Dakar, le chef de l`Etat ivoirien Alassane Ouattara, président en exercice de l`organisation, a annoncé "la mise en place immédiate de la force d`attente de la Cédéao" et indiqué que les chefs d`état-major devaient se réunir cette semaine à Abidjan "pour voir les modalités d`activation de cette force".
La Cédéao avait auparavant mis en état d`alerte sa force de quelque 2.000 hommes, alors que la rébellion touareg du Mouvement national pour la libération de l`Azawad (MNLA) et des groupes islamistes se sont emparés en quelques jours de la moitié nord du Mali.
L`organisation ouest-africaine a également décrété un "embargo total" contre la junte au pouvoir à Bamako, en vue d`obtenir le retour à l`ordre constitutionnel après le putsch du 22 mars contre le président Amadou Toumani Touré.